[09-02-2013] BOURG EN BRESSE (01) - La Tannerie

Samedi 9 février 2013 à Bourg en Bresse.
Première partie : MESSALINE (bien sûr !)
http://www.la-tannerie.com/

Une petite heure de route pour moi !
Date cochée sur le calendrier !

Les tickets sont à 22 €.
Gratuit pour les moins de 10 ans...

Le teaser du concert :

Les billets sont commandés.
Nous serons 4 : gatoon et moi, Bibi un copain qui a déjà vu Ange plusieurs fois avec moi et un petit nouveau, mon copain Régis pour qui ce sera le premier concert de Ange.

Philippe71 a écrit:
Nous serons 4 : gatoon et moi, Bibi un copain qui a déjà vu Ange plusieurs fois avec moi et un petit nouveau, mon copain Régis pour qui ce sera le premier concert de Ange.

bien Philippe pour ton copain il faut un début à tout il ne sera plus le même ensuite

hello
eric "chattos" , j 'organise la date à Bourg ( of course, fiief de MESSALINE) , il y a bcp d'imbibés qui comptent venir ??

chattos a écrit:hello
eric "chattos" , j 'organise la date à Bourg ( of course, fiief de MESSALINE) , il y a bcp d'imbibés qui comptent venir ??

Bin, moi !
Je crois que Ollivier38 vient aussi.

Alors un Grand Bonjour à Ollivier38....et Bloavezh Mat (Bonne Année)...c'est mon coté Celte... aux Montagnards...!

Extrait du Progrès, édition du 17 janvier
http://www.leprogres.fr/art-et-culture/2013/01/17/a-la-tannerie-des-petroleuses-et-des-guignols-pour-passer-l-hiver

À la Tannerie : des pétroleuses et des guignols pour passer l’hiver

Bourg-en-Bresse. Puppetmastaz, Carmen Maria Vega, Ange ou Léon. Ce soir, la Scène de Musiques Actuelles présente une saison moins sexy que sa devancière. Quoique…

En ces temps de misère, ça fait plaisir. La Tannerie de Bourg reste sur un automne d’exception, riche de sa diversité et de sa densité, de têtes d’affiches et sensations offertes à des salles combles. Difficile de rééditer la performance. La programmation d’hiver semble nettement moins sexy que sa devancière.

Quoique. Les photos en tenue affriolante de Carmen « fatale » Vega démontrent le contraire. Elle souffle le premier coup de chaud de la saison, elle et Laurence & Richard Desjardins, couple de chansons québécoises grand style, tous invités le 25 janvier par le festival Carbur’en Scène des Dieselles, autres pétroleuses.

L’attraction du trimestre, ce sont les guignols. Pas ceux de l’info mais du hip-hop, croqué tout cru par Puppetmastaz (15 février). À chaque marionnette son rappeur farceur. Depuis 1996, ce « gangstoy band » venu de Berlin détourne les codes du genre en un show trash et spectaculaire. Les hip-hopantins ont déjà beaucoup tourné et leur électro-rap ne casse pas trois pattes à un canard en latex. Mais le concept amuse.

Ange lui, créait « Caricatures » à l’époque du « Puppet on a string » de Sandie Shaw, grand prix de l’Eurovision 67, ce qui ne nous rajeunit pas. En 45 ans de carrière au-delà du délire, Christian Décamps et ses hobbits, n’ont cessé d’inventer « le pied qui culbutera la terre ». Ange : ses avatars polymorphes et falstaffiens, à la fois poètes chimériques, comiques troupiers, forgerons des enfers et ogres foutrement moyenâgeux. Les revoilà le 9 février, invités par leurs (in) dignes rejetons de Messaline, qui présenteront leur dernier album à l’occasion.

Le tremplin des Trufferies, une battle de hip-hop et une de punk-rock, une soirée électro, une de reggae, un spectacle jeune public, et le jeudi, c’est Tannerie. Le Truffien retrouve ces rendez-vous qui balisent la saison de la SMAC et façonnent son identité. De même, les œillades en direction des musiques du monde, improvisées, ou à la danse contemporaine respectent le cahier des charges.

S’il fallait un coup de cœur dans cette programmation un peu convenue, ce serait « Léon ! ». Pourtant Léon n’existe pas. Il est l’absent que trois femmes attendent désespérément. Une drôle de pièce chorégraphiée par la C ie Lily Kamilaz, scandée par des chansons de Juliette Gréco, Goran Bregovic ou Jeanne Moreau. « J’t’ai dans la peau Léon ! », le 8 mars, pour la Soirée de la femme. Ça s’imposait.

Marc Dazy

Bon c'est bon pour moi !
On descendras de Dijon, je prendrais ma frangine à Chagny, et on arriveras à quatre
Allez quatre Sabots en plus !

Petit concours pour ceux qui viennent ou qui hésitent à venir à la Tannerie:
CONCOURS 2
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A l'occasion du concert évènement de ANGE le 09 février 2013 à la Tannerie de Bourg-en-Bresse,
ANGE s'associe au WEBZINE DE TI-RICKOU pour vous permettre de gagner :

- 1 peau de batterie signée par ANGE.

La question est la suivante :
"En quelle année et dans quelle ville ANGE a joué la première fois avec ABSURD ?
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Les gagnants seront tirés au sort parmi les participants ayant répondu correctement.

Le lot sera remis en main propre pendant le concert uniquement.

Pour participer à ce concours, utilisez le formulaire de contact en mettant "Concours ANGE" en titre de message. Et bien sûr laissez vos coordonnées après votre réponse pour que nous puissions vous recontacter !

Bonne chance à tous !!!

Le site pour jouer est le suivant http://lewebzinedeti-rickou.com/

Même sans le concours, je n'hésite pas à venir !


Néanmoins, j'ai participé au concours !

hello
à J - 4
les places partent comme des petits pains !
si vous venez de loin on vous conseille de prendre vos places à l'avance car la capacité de La Tannerie est 550 personnes et déjà 450 places ont trouvé preneurs !!!
pour les retardataires la billeterie en ligne : http://www.digitick.com/ange-messaline-concert-la-tannerie-bourg-en-bresse-09-fevrier-2013-css5-latannerie-pg101-ri1416875.html

séances dédicaces à la boutique ADIPOCERE, place Edgar Quinet ( 01 000 BOURG EN BRESSE ) le samedi 9 février :
MESSALINE : de 15 à 17 h AVEC LE NOUVEL ALBUM « EVISCERER LES DIEUX »
ANGE : de 17 h à 18 h 30

Dommage pour les dédicaces, Chattos, mais je quitte le boulot à Autun à 17h00, ça va déjà être chaud pour arriver à Bourg à 20h30 vu qu'on passe par les petites routes (copain à Simandre, puis Romenay, St trivier, Montrevel...)
En plus, ils prévoient de la neige !

Mais je compte sur vous après le concert pour venir faire un tour dans la salle !

J'ai reçu un SMS de mon copain qui vient voir Ange pour la première fois. J'étais mort de rire !
"mon dépucelage arrive à grands pas !"

Philippe71 a écrit:J'ai reçu un SMS de mon copain qui vient voir Ange pour la première fois. J'étais mort de rire !
"mon dépucelage arrive à grands pas !"

Son dépucelange, qu'il voulait dire .

encore 20 places vendues aujourd'hui !
ça va etre complet samedi !
demain grosse interw de Christian dans LE PROGRES
et vendredi dans A VOIX DE L'AIN

Bonsoir !

Allez vaut y aller !
Surtout pour ceux qui ne sont pas bien loin !
Parce que pour cette année 2013, soit disant l'année de la braise (ou l'année de la baise ?), je ne pense pas qu'il y auras autant de date que pour l'année 2011, et encore moins que pour l'année 2012 !
Je sais pas facile par cette période de crise qui dure !

A+

Extrait du Progrès de l'Ain, édition du jeudi 7 février
http://www.leprogres.fr/art-et-culture/2013/02/07/christian-decamps-la-nostalgie-est-un-fleau

Christian Décamps : « La nostalgie est un fléau ! »

Rock inoxydable. Ange, 43 ans d’existence et toujours vivant. Son démiurge réfute l’image baba cool des années soixante-dix pour la vision d’un groupe ouvert et spontané. Entretien sur un nuage, avant le concert de samedi à La Tannerie de Bourg.

Pour le livre des records, combien Ange totalise-t-il de décennies, d’albums, de concerts ?…

Ange a fêté ses 43 ans le 31 janvier. On est donc dans la cinquième décennie ! De cette période, restent trois groupes en activité avec Magma et Tri Yann, qui a démarré un an après nous. À la louche, ça représente une quarantaine d’albums, six disques d’or, un grand prix de l’Académie Charles-Cros (« Par les fils de Mandrin », 1976)… Les concerts, je n’ai jamais compté !

43 ans, c’est peu dans une vie d’ange…

Relativement. Mais pour qu’il y ait vie d’ange, il faut évacuer le passé ! La nostalgie est un fléau. Dans ce monde qui ne change pas, l’être humain n’a pas compris que le passé, c’est du futur en construction. On nous a collé une image de babas cool des années soixante-dix. Rien à voir ! Ange a réuni beaucoup de gens différents, des feelings différents. C’est une entité hors du temps.

Entre progressif, métal, médiéval, fantastique, opéra-bouffe, théâtre… Ange a mené plusieurs vies. Quel est le fil rouge ?

Peut-être le côté spontané de l’écriture et des compositions. On n’a jamais eu de plan de carrière. L’« Ode à Émile » par exemple. Une ballade qui pouvait passer à la radio, alors qu’on n’y passe jamais. On a dit : « ça y est, Ange fait du commercial ! » Faux. Pendant la tournée « Au-delà du délire », il se trouve qu’on a rencontré un petit vieux qui racontait des légendes dans son patelin. C’était Émile Jacotey. J’ai écrit le poème et on a appelé l’album « Émile Jacotey ». Voilà comment un illustre inconnu est devenu une icône, par hasard comme souvent. Ange est le fruit du hasard.

Gardez-vous un petit faible pour une période, un ou des albums en particulier ?

Je garde un grand faible pour la carrière du groupe et ses 43 ans de folie. Je dis toujours que dans la vie, il faut 40 % de merdes pour avoir 60 % de bonheur. Ange, c’est un peu ça.

De l’Ange originel ne reste plus que vous…

Parce que je suis le seul à ne pas avoir quitté le groupe ! On n’est jamais obligé de rester chez Ange. La seule obligation est le respect - finir la tournée et trouver un remplaçant - parce que s’en aller crée une blessure. Mais il faut pouvoir y entrer ! Avoir ce ressenti commun pour que la musique s’épanouisse. C’est de la musique de groupe. On parle toujours de l’Ange des années soixante-dix. Mais la formation d’origine n’a duré que quatre ans. Là, ça fait dix-sept ans qu’on est ensemble (dix ans pour le batteur) et il existe une véritable passion entre nous.

Sans Christian Décamps, Ange existe-il ?

Quand Paul Rodgers a remplacé Freddy Mercury chez Queen, on a dit : « Oui, ça vaut pas Freddy ». D’accord vieux, mais il est mort ! Moi, j’ai la chance d’avoir un fils talentueux. À mon décès, j’espère que lui et les autres continueront. Ange ne m’appartient pas.

Où en êtes-vous avec vos vers solitaires ?

Je continue en dilettante. Je vais bientôt en refaire une série. J’aime beaucoup.

Une récréation ?

Une thérapie… Individuelle. Ange, c’est une thérapie de groupe.

Propos recueillis par Marc Dazy

Merci Philippe

Merci Philippe !!

Extrait de la Voix de l'Ain, édition du vendredi 8 février
http://www.voixdelain.fr/blog/2013/02/07/un-ange-se-pose-a-la-tannerie/

Un Ange se pose à la Tannerie

Est-ce la première fois qu’Ange se produit à Bourg?

Christian Decamps. “Non, le groupe a déjà joué au théâtre de Bourg, et moi en solo à la Ferme à Jazz. Dernièrement, Eric Martelat, le chanteur du groupe Messaline m’a gentiment proposé de venir jouer à Bourg”.


Comment le groupe Messaline vous a-t-il rencontré?

” Par le biais d’Eric Martelat, alors qu’il faisait ses études aux beaux arts de Besançon. Il y a quinze ans déjà. Depuis on ne s’est plus quitté. J’ai toujours plaisir à chanter dans certains morceaux de leurs albums, notamment le dernier (Eviscérer les dieux), je l’ai fait sur le titre intitulé ” sale temps”. L’enregistrement s’est déroulé en une journée, il y a évidemment eu en amont un travail de préparation. Pour moi, ce fût une vraie joie de vivre. Un moment de détente.”


La formation actuelle d’Ange est composée de votre fils Tristan depuis 1999 (claviers, chant), de Benoît Cazzulini (batterie, percussions) depuis 2003, d’Hassan Hajdi (guitares, chant, chœurs) depuis 1996, de Thierry Sidhoum (basse, chant, chœurs) depuis 1994. Y a-t-il une recette angélique qui permet au groupe de traverser le temps ?

“D’abord, je n’ai jamais quitté le groupe (rires). La formation originelle n’a duré que quatre ans. Tous les musiciens ont la possibilité, de monter ou de partir du ” navire ” quand ils le veulent. Le groupe est une entité qui voyage dans le temps, et comme le temps n’existe pas, donc on est toujours là. Nul n’est irremplaçable, Ange est éternel, nous on ne l’est pas. L’osmose entre les musiciens fait que le groupe continue.”

Ensuite, l’envie de créer, qui est une jouissance, un état passionnel, la capacité de souffrance sont nécessaires à l’artiste. Le désir de donner de la générosité aux gens lors des spectacles permettent de vivre les choses ensemble. Sans le public l’artiste n’est qu’un leurre. Il a besoin du regard, des oreilles des autres pour exister. Ce n’est pas une question de mode. Ange est complètement hors mode, et l’a toujours été. J’ai un ami qui disait ” Ange est inclassable et c’est çà la classe…“.


Que répondez-vous à ceux qui disent ” Ange s’était mieux avant “?

“Une part du public le pense… Pour moi la nostalgie est un fléau, comme pour tout artiste. Y compris dans la vie courante, voir des gens les larmes aux yeux, dire ” Ah, quand j’étais jeune, c’était le bon temps…”. C’est une phrase que j’exècre. Je leur réponds ” Ange pour moi, c’est toute ma vieillesse… ! ” (rires).”


Pourquoi avoir intitulé le dernier album ” Moyen Age ” ?

“Christian Decamps. A un moment donné, j’ai vu l’écart qui se creusait entre les pauvres et les riches, le luxe, la luxure. Je ne reproche pas aux riches d’être riches. Je veux pas dire que tout le monde doit gagner la même chose. Ce que je reproche c’est ce déséquilibre, on peut équilibrer les choses. Le jour où les poètes n’auront plus rien à écrire le monde sera sauvé. Et là, j’ai voulu en parler, on est carrément au moyen âge !”


Au Moyen âge il y avait des troubadours, considérez-vous comme des troubadours du XXIème siècle ?

“Des troubadours de l’éternité ! (rires). On reste hors mode. L’éternité cela fait parti de l’imaginaire. La vie est une utopie. C’est ce je veux dire aussi dans ” Moyen âge “, comme dans beaucoup d’albums. L’éternité quoi…C’est les enfants qu’on fait. Je les appelle des bouts d’éternité.”


Actuellement vous avez dans votre formation un bout d’éternité… ( Son fils Tristan).

“Oui, voilà, et en plus le hasard, il a du talent, ce n’est pas parce que c’est mon fils, c’est avant tout plus un ami, un confident plus qu’un fils. Je ne l’aurais pas pris s’il n’avait pas de talent. Je ne lui aurais pas proposé. Il n’était pas obligé. Il s’est fait tout seul. Alors évidemment tout le monde y voit le côté familial le neveu remplace l’oncle ! Mais C’est une chance, une chance qu’il soit doué. C’est des propositions, on propose et on fait.”


Çà a été le cas des autres musiciens qui sont venus à vous ?

“Oui, par exemple Hassan (Hajdi) a voulu entendre la musique (d’Ange), pour voir ce que c’était, il a écouté des albums. Il a dit je donne ma réponse dans douze jours, je sais pas pourquoi douze jours…Douze jours après il a appelé et il me dit écoute, c’est exactement la musique que je veux faire, çà tombe bien c’est vraiment çà que j’aime. Çà s’avère vrai sur la longueur, çà fait maintenant dix-sept ans qu’on est ensemble, il est toujours aussi passionné, il allie le talent à la virtuosité du personnage.”


Comment travaillez-vous les concerts ?

“Le travail c’est préparer un show, c’est aussi savoir ses parties, pouvoir se lâcher, avoir une belle osmose. Les gens qui sont venus dans ce groupe sont fidèles en amitié, avec plein de caractères différents, c’est assez hallucinant. Je m’aperçois que je ne chante pas de la même façon quand je suis accompagné par les uns ou les autres.

Il est préférable justement de répéter individuellement et de se retrouver sur la scène pour entre guillemets ” répéter devant le public “! C’est une mise en danger, mais avec de belles choses. On l’a constaté à 80% des cas, c’est énorme. Parce qu’il y a un constant danger. Il faut à tous prix nous sauver, sauver sa peau ! (rires) !”


La tournée se poursuit au Japon en avril prochain. C’est la première fois… Que pouvez-vous en dire ?

“Le Japon c’est la première fois…Il y a encore du monde à voir (rires)…On y a, sans chercher à savoir ce qui nous attend là-bas, comme çà à toujours été dans tous les pays étrangers. C’est encore un pays qu’on a pas accroché à notre palmarès. Si çà marche bien, on peut y retourner, pourquoi pas. C’est une salle intimiste, avec une jauge de quatre cents. On y va aussi pour prendre la température. On pourrait dire presque des concerts test.”


Propos recueillis par Alain Forest, CLP


ANGE ET MESSALINE en concert à la Tannerie le samedi 9 février 2013 à 21h00.

Séances dédicaces à la boutique ADIPOCERE, place Edgar Quinet le samedi 9 février 17 h à 18 h 30 (Ange), de 15 H à 17 H ( Messaline pour son nouvel album).



Le groupe aux 33 albums

ANGE s’est affirmé tout au long des années 70 comme étant le N°1 du rock français, avec six disques d’or et plus de 3 millions d’albums vendus. Les chiffres sont à la hauteur du phénomène. Cette année cela fera quarante trois ans de présence sur la scène rock française, européenne, mondiale.

Après trente trois albums, dont onze enregistrés en public, huit albums solos de Christian Decamps, son fondateur, le groupe est de nouveau en tournée, le ” Moyen Age Tour ” .

Très Intéressant Philippe , Merçi. (Un peut dur à lire en Bleu)

Bon concert à tous ceux qui seront à Bourg en Bresse !