"Mots ments" difficiles
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"Mots ments" difficiles
17 février 2022 / Etape 116 : « Monstre d’Histoire »…Suite 116
« Confusion, will be my epitaph ». Je viens de lire sur la Roulotte (Forum des Imbibés angéliques), donc d’apprendre, le décès de Ian McDONALD, musicien homme-orchestre, saxophoniste-flûto-guitaro-claviériste, co-fondateur du groupe King Crimson, groupe de rock dit « progressif » dans le milieu savant musical.
« Confusion », en effet pourrait être mon épitaphe. Eventuellement et aussi mon épigraphe, épigraphe de début pour mon livre, mon « Roman-Gothique », si toutefois ce roman connaissait une édition. Il y a peu de chance que celui-ci soit édité, « Confusion » ne sera, donc, pas son début.
« Confus ». Incertain, obscur, embrouillé, adjectifs qualifiés et appropriés pour définir mon substantif, mon : Être.
(Tu vois (?), tout comme toi, et tout comme tous les quidams du Monde, en clopant-buvant mon café noir fumant sur mon Balcon, le cul sur ma chaise en plastique blanc, cassé, je me pose la Question : « Qui suis-je ? »)
Je n’ai pas la Réponse.
Il y a tant de façon « d’Être ».
Être ou paraître ? Je « suis » plutôt, surtout à cet instant. Paraître relève du théâtre, un rôle comédien, une pantomime, un habit que l’on quitte dès la pièce achevée. J’aimerais retrouver ce costume de scène, ma nudité spirituelle du moment, moment de près de deux ans (même les moments vieillissent), effraie l’Autre, son obscénité blesse la pudeur de l’Autre. Comment me rhabiller, me remettre en état ? J’y pense à chaque instant. Ma garde-robe n’est guère garnie, lorsque j’ouvre sa porte, je n’aperçois que cet habit bariolé, un vêtement d’Arlequin, guenille de mon Amour.
Hier, j’ai appris une bien triste nouvelle et j’en ai –encore- pleuré. Pourtant en y réfléchissant (bien) cette triste annonce ne me concerne que de très loin, pourtant elle fut (hier) porteuse –encore- de chagrin. « Nu », nu je vous dis que je suis. Je ne peux dévoiler cette nouvelle à tous vents, le respect du « privé » est nécessairement indispensable.
Hier –encore hier-, je me suis infligé le « Mouvement », mon Être charnel, mon mieux être charnel en dépend. Après plus de deux heures d’exercices physico-méditatifs je suis allé –encore et encore- user mes semelles dans les rues et ruelles de la ville où réside ma « Belle ». Mes semelles non pas rencontré les siennes, tout était presque parfait, à part l’inhérence de mon pas et sa douleur, je suis arrivé au bout de mon « où vais-je ? ».
10 km en nuit tombante + 4 en nuit tombée, mes semelles n’ont pas connues l’ennui.
Qu’est-ce que j’Aime ! J’aime ces mots à profusion, totalement à ma disposition, amis de jeu, de jeu de scène, ils sont décors de mon théâtre ; jeu vous aime les mots. M’aimez-vous ? Je pense que oui, sinon vous ne me viendriez pas à l’esprit.
Une véritable déclaration d’Amour, voulez-vous m’épouser ?
Aux mots de me répondre « oui ». Quel harem ! Quel défi pour mon zizi spirituel ! Une myriade de relations textuelles à assumer. « Mot », sperme de « l’Esprit ». Permettez-moi de vous remercier pour l’aide procurée. J’aurais pu vous « spermettez-moi » mais vôtre beauté n’a nul besoin du surfait.
Il est l’heure qu’il est. La tisane et la cigarette, fable de la fontaine de mon regard, l’amène au Balcon où Juliette n’entend pas son Roméo.
Je reviens vous chercher.
Mots je vous Aime, vous êtes les femmes et la flamme de ma vie. Que serais-je sans vous, qui venez à ma rencontre, que serais-je sans vous, qu’un cœur aux mains tremblantes. Je vous couche en ma couche et je vous fais l’Amour.
« Confusion, will be my epitaph ». Je viens de lire sur la Roulotte (Forum des Imbibés angéliques), donc d’apprendre, le décès de Ian McDONALD, musicien homme-orchestre, saxophoniste-flûto-guitaro-claviériste, co-fondateur du groupe King Crimson, groupe de rock dit « progressif » dans le milieu savant musical.
« Confusion », en effet pourrait être mon épitaphe. Eventuellement et aussi mon épigraphe, épigraphe de début pour mon livre, mon « Roman-Gothique », si toutefois ce roman connaissait une édition. Il y a peu de chance que celui-ci soit édité, « Confusion » ne sera, donc, pas son début.
« Confus ». Incertain, obscur, embrouillé, adjectifs qualifiés et appropriés pour définir mon substantif, mon : Être.
(Tu vois (?), tout comme toi, et tout comme tous les quidams du Monde, en clopant-buvant mon café noir fumant sur mon Balcon, le cul sur ma chaise en plastique blanc, cassé, je me pose la Question : « Qui suis-je ? »)
Je n’ai pas la Réponse.
Il y a tant de façon « d’Être ».
Être ou paraître ? Je « suis » plutôt, surtout à cet instant. Paraître relève du théâtre, un rôle comédien, une pantomime, un habit que l’on quitte dès la pièce achevée. J’aimerais retrouver ce costume de scène, ma nudité spirituelle du moment, moment de près de deux ans (même les moments vieillissent), effraie l’Autre, son obscénité blesse la pudeur de l’Autre. Comment me rhabiller, me remettre en état ? J’y pense à chaque instant. Ma garde-robe n’est guère garnie, lorsque j’ouvre sa porte, je n’aperçois que cet habit bariolé, un vêtement d’Arlequin, guenille de mon Amour.
Hier, j’ai appris une bien triste nouvelle et j’en ai –encore- pleuré. Pourtant en y réfléchissant (bien) cette triste annonce ne me concerne que de très loin, pourtant elle fut (hier) porteuse –encore- de chagrin. « Nu », nu je vous dis que je suis. Je ne peux dévoiler cette nouvelle à tous vents, le respect du « privé » est nécessairement indispensable.
Hier –encore hier-, je me suis infligé le « Mouvement », mon Être charnel, mon mieux être charnel en dépend. Après plus de deux heures d’exercices physico-méditatifs je suis allé –encore et encore- user mes semelles dans les rues et ruelles de la ville où réside ma « Belle ». Mes semelles non pas rencontré les siennes, tout était presque parfait, à part l’inhérence de mon pas et sa douleur, je suis arrivé au bout de mon « où vais-je ? ».
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EGNA- Messages : 36629
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Re: "Mots ments" difficiles
Dans ces "Mots Ments" Là; tu n'est pas seul, ne pas hésiter ,Mon Egna...!
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Re: "Mots ments" difficiles
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