Les textes des chansons !!

"GUET-APENS" (1978)

Les mots... (Source "The Spirit of the Rock.com)



1. A COLIN-MAILLARD

Dis-moi comment ils ont repeint l'hiver
Dis-moi pourquoi la neige se dérobe ?
Plus d'un demi-siècle à tourner dans le noir,
Ils disent que je joue à Colin-Maillard !

Suis-je en retard sur le dernier solstice
Pour glisser une éclipse dans mon rêve,
Mais j'étoffe le désir de gribouiller la nuit
En nichant mon iris sur ses lèvres...

Oui, j'étoffe le désir de gribouiller la nuit
En nichant mon iris sur ses lèvres...
A Colin-Maillard
Tout au bout du couloir

Moi, je dois jouer !
Dressé, dans l'espace
Immaculé, de ma race
Moi je dois traîner...

Traîner le rébus d'une image,
Le puzzle d'un mauvais jour,
Tourner, retourner la page,
Pleurer à contre-jour !


2. DANS LES POCHES DU BERGER

A pas de loup,
Je gravis l'arc-en-ciel,
Le vent me déshabille,
J'embrasse une hirondelle ;
Dans un parfum de menthe douce...
Un gros soleil qui m'éclabousse,
J'me sens tout p'tit !

A pas de loup,
Le berger de l'alpage,
Sur un vert d'herbe flou
Veille sur ses nuages ;
Dans un parfum de menthe douce...
Il retourne le fond de ses trousses,
J'me sens tout p'tit !

Dans les poches du berger,
Il existe un sentier...
Une morve bien sage
Ornant les plis d'un vieux mouchoir !
Dans les poches du berger

Se pavane un cahier,
Une recette à chaque page...
Et pour épice un brin de soir...
A mes genoux,
Un océan de brume
Ecorche sa nudité
Au turban d'une cîme...
Dans un parfum de menthe douce...
Je retourne le fond de mes trousses,
Je n'y vois rien !


3. UN TROU DANS LA CASE

La ville a revкtu son manteau de loques
Le sac au dos, j'patauge dans l'urinoir !
Le grand presbytиre tire une gueule de maison close,
Une soeur en ricil fait l'trottoir !

J'suis loin des vacances, j'promиne mes douze ans
Et ?a m'dйmange entre les hanches...
C'est pas la premiиre fois, j'sens comme un frisson,
J'ai peur de glisser quand j'me penche !

Le crвne taill, en brosse, j'allonge les brodequins...
Et la cloche de l'йcole qui s'excite...
On dirait la Morgan dans le film du dimanche,
Elle nous met en rang, le coeur sur orbite..
.
Mais la craie sur le tableau crisse un concerto,
J'fais tomber la gomme dans l'extase...
Elle йpluche la dictйe, mes doigts qui tripotent !
J'avais fait un trou dans la case !

Je lиve le petit doigt, demande le permis d'uriner
Et la tour de contrфle de me rйpondre : " Oui ! "
Mais les annйes passent, comme un coup de chasse d'eau,
Alors, on apprend la vraie gйographie...

On n'suce plus son pouce, ni mкme un bout de rйglisse ;
La gomme est usйe, on se blase
A mon enfant je chanterai cette perceuse
Pour qu'il fasse un TROU DANS SA CASE !


4. VIRGULE

Au seuil de ton antique
Aux ornières d'un parchemin,
Je me risque à poursuivre
Les lignes de sa main...
Silhouette de version latine,
Elle déguise le Vésuve
En parpaing magique

Pour aller faire des ronds dans l'Au-delà !
Puis dans une infusion d'orties,
Au détour du même parchemin,
Je me plie, elle me prie
A descendre le cours de ses reins...
Cléopâtre ou Agrippine
Qui maquille sa croupe
En rince-doigts,

J'ai l a plume qui dévie,
J'y pose une virgule !
Cléopâtre ou Agrippine
Qui maquille sa croupe
En rince-doigts,
J'ai l a plume qui dévie,
J'y pose une virgule !


5. REVEIL-TOI

Mille excuses si je suis en retard
Mais j'attendais que les enfants s'endorment ;
Il a fallu raconter une histoire...
Quand le gardien a fait chanter la grille
De ton caveau nimbé de brouillard,
Alors je me suis avancé sans bruit...

Mille excuses si je suis en retard
Mais les enfants t'ont revue sur l'album ;
Ton cimetière laisse une allure de square !
La vie s'allume d'une rivière de diamants
Quand ma pensée effeuille ton automne
Je suis venu me conduire en amant

Réveille-toi ! Réveille-toi !
Je veux que ce coït fasse que tu ressucites
Et qu'il suscite en toi des instants de velours !

Réveille-toi !
Je ne suis pas venu caresser une légende
Mais un être dont la seule beauté
Etoufferait l'éclair de l'orage, les épées du soleil !

Réveille-toi !
Je veux que mon envie dépoussière ton hymen
A grands coups de tendresse,
Qu'il oublie sur ta peau l'ombre de mes désirs...

Réveille-toi !
J'entame un long chorus de liquide vagabond
Sur ta chair à musique...
Non ! Non ! Non ! Je ne crois plus en ce coma éternel,
Tombé, comme un satyre,
Détenant le plaisir que tu avais de vivre...

Réveille-toi !
Ecarte tes paupières,
Je veux revoir tes pleurs me parler d'une joie
Que nous avons perdue...

Réveille-toi ! Réveille-toi !
Tu m'entends, dis ?
Je te pénètre, te chavire, te respire, t'enfouis !!!
JE T'AIME !!! JE T'AIME !!! JE T'AIME !!!

Mille excuses si je suis en retard
Mais les enfants t'ont revue sur l'album ;
Un feu follet vient brûler leur mémoire !
Quand le gardien a fait chanter la grille
De ton caveau nimbé de brouillard,
Alors je me suis avancé sans bruit !
La vie s'allume d'une rivière de diamants
Quand ma pensée effeuille ton automne...
Je suis venu déborder ton divan


6. CAPITAINE COEUR DE MIEL

Et Cap'taine Coeur de Miel
Dversa tout son fiel,
L'envoya se faire foutre...
A la mer...
Un canevas de solitude
Entre deux cardinaux...
Les vagues brodaient son testament.
Le long cargo d'amertume
Reniflait l'aprs-guerre

Par quelques blessures l'avant...
Poisson-scie, gouvernail
Filaient entre les mailles...
Il tait l, plante sur le pont ! Le nez collé au ciel, le sextant en haleine,
Une bouteille de rhum blanc
A la main...
La nuit gisait, splendide !
Une Venus sans pudeur

Cambrait sa proue la grande ourse !
Lui restait candide
Face tant de beaut ;
L'univers poursuivait sa course...
Mais la mer et le vent
Détenaient le secret,
Il tait l, riv sur le pont
A chatrer les toiles, maudire les cueils,
Une bouteille de rhum blanc
A la main...

Poisson-scie, gouvernail
Filaient entre les mailles...
Il tait l plant sur le pont !
Le nez coll au ciel, le compas en haleine,
Une bouteille de rhum blanc
A la main...
Une fivre aux allures glauques
S'empara du vieux loup,
Neptune avait tiré au sort !
Des enfants de salauds
Engrossaient la soute
Quand il tait entre deux ports...

Mais le ciel et la mer
Cramponnaient le secret,
Il tait l, riv sur le pont !
A chatrer les toiles, maudire les cueils,
Une bouteille de rhum blanc
A la main...
Ah ! Ah ! La coquille de l'anctre
Craquait tour de miel,
Il avait perdu la boussole...
Alors, de tout son tre,
Cap'taine Coeur de Miel
Se laissa glisser, glisser dans l'alcool...
Poisson-scie, gouvernail

Filaient entre les mailles...
Il tait l, plante sur le pont !!!
A chtrer les toiles, maudire les cueils,
Une bouteille de rhum blanc
A la main...
Poisson-scie, gouvernail
Filaient entre les mailles...
Il tait l, plante sur le pont !!!
Et Cap'taine Coeur de Miel
Deversa tout son fiel,
L'envoya se faire foutre
A la mer...
..Cap'taine Coeur de Miel dversa tout son ???
J'sais plus ! J'sais plus trs bien !!!
H h h h h !!!

H ! Qu'est-ce qui tourne dans ma tete ?
Le chrono qui s'arrete ?
Le temps... Le sang... Le temps...
Ce sang qui bouillonne en mon tre !
J'ai le coeur qui orchestre
Comme un bal Satan !
H qu'est-ce qui tourne dans ma tete ?
Une sirene qui s'apprte...
Au chant... Au temps... Ce chant...
Oh ce chant qui enivre mon tre...
J'ai le coeur qui orchestre
La symphonie du temps !
H, qu'est-ce qui tourne dans ma tete ?
Des lutins qui s'appretent !
Attends ! Attends ! Attends !

Attends ! Les souvenirs s'embrouillent...
J'ai la mémoire qui rouille
Le couteau dans la plaie !!! Plaie !!!
H ! Qui explose dans ma nasse ?
Des galaxies qui passent...
Je rle !!! Je crache !!! Je rle !!!
Je crache plus loin que le lointain,
J'ai le coeur qui dépeint
La symphonie du Temps... Temps...
H ! Qu'est-ce qui tourne dans ma tete ?
Des embruns qui s'enttent
Je crache !!! Je rle !!! Je crache !!!
Je rle !!! Poussiere dans l'Absolu,
J'ai le coeur qui remue
Le couteau dans la plaie !
..dans la plaie...
..dans la plaie...
..dans la plaie

D'après Thierry 26740

Les mots du Moteur   (Source "The Spirit of the Rock.com")

01.TANT PIS L’INDIEN

Tant pis l’indien
Pas assez d’paix pour l’calumet
Tant pis l’indien
Que du tabac, des cachets

C’est qu’je pleure
Mais j’suis tout seul dans la rue
C’est pas qu’j’ai peur,
J’suis pas foutu d’faire une tribu

Tant pis !

Tant pis l’indien
Au plus clair de tes plumes...

Tant pis l’indien,
Z’ont marché sur la lune.
Chaque fois qu’tu pleures
La rivière fait tristesse

Chaque fois qu’tu meurs
Y a qu’à dire y a qu’à dire
Y a qu’à dire que t’es plus là
Même si quelqu’un frappe à ton cœur
Y a qu’à dire que tu sais pas...
Qu’ils aillent se faire voir ailleurs...

Y a qu’à dire que t’es plus là
Même si quelqu’un frappe à ton cœur
Y a qu’à dire que tu sais pas...
Qu’ils aillent se faire voir ailleurs...

T’as plus d’Wayne, plus d’cinéma
Les buffalos se font plus d’bile
Y a plus d’ci, y a plus de ça.
Plus qu’une réserve dans la ville.

Y a qu’à dire que t’es plus là,
Même si des fois c’est pas ta vie
Y a qu’à dire que tu sais pas joué
Du c.b. sous ton tipi.

02.SAGA

Imagine un soir d’été posé sur un refrain,
Un vaisseau assez spatial pour nous emmener très loin
Imagine un soir d’été on plierait les bagages,
Tu te mettrais aux commandes, on pourrait faire un long voyage....

Imagine une nuit d’été gavée de galaxies
Un vaisseau assez spatial chercherait mélodies
Imagine une nuit d’été on plierait nos visages
Dans un livre d’aventures, on irait faire un long voyage

Elle est passée par ici, elle repassera par-là,
La note... Oui la note...
Elle est peut-être sous ta chemise
La note qui fait déborder l’blues... Oh...oh...

On ose plus trop s’envoler, courir le firmament
Les gens préfèrent le banal parce qu’y pas de blues dedans
On voudrait trouver une comète, une planète, une pelouse
Pour savoir comment sonnait la note...

Elle est passée par ici, elle repassera par-là,
La note... Oui la note...
Elle est peut-être sous ta chemise
La note qui fait déborder l’blues... Oh…oh...

Elle est passée par ici, elle repassera par-là,
La note... Oui la note...
Tu la tiens sous ta chemise
La note qui fait déborder l’blues... Oh...oh...

03.RIEN N'EST TROP BEAU POUR TOI

Une lune, un pleur de brume
Un étang qui se noie
Rien n’est trop beau pour toi !

Tu t’ennuies,
Un flipper en plein désert,
Un ange au bout des doigts...

Rien n’est trop beau pour toi !

Tu t’ennuies
Juste à l’angle de ton être, je glisse une joie
Rien n’est trop beau pour toi !

(Et) tu t’ennuies,
Reprendras-tu un peu d’eau fraîche
Auprès de mon émoi
J’ai taché ton jupon

Je t’ennuie,
Je t’ennuie,
Je t’ennuie...

Je m’en vais...

04.MOURIR, SOUFFRIR

Ouais, c’est comme une panne,
Une panne, une panne....

Un train qui fout le camp.

Ouais c’est comme une panne, une panne, une panne,
Une panne côté cœur acupuncture.
Un point de suture,

Et ça fait mal, ça fait sale, les brûlures.
A la vitesse du sang,
Ça fait mal, ça fait sale, cicatrice,

Mourir, moi j’veux bien,
Souffrir, moi j’veux pas
Mourir, moi j’veux bien
Souffrir, moi j’veux pas.

Ouais, c’est comme une panne, une panne, une panne,
Une panne de secteur,
Un accident, la tête qui fout l’camp

Ouais, c’est comme une panne, un drame infâme,
Une femme côté cœur,
Que des blessures, des cris, des coups durs.

Et ça fait mal, ça fait sale, les brûlures,
A la vitesse du sang,
Ça fait mal,
Ça fait sale cicatrice...

Mourir, moi j’veux bien,
Souffrir, moi j’veux pas
Mourir, moi j’veux bien
Souffrir, moi j’veux pas.

05.TOUCHEZ PAS À MON CINE !

Jules César au saxo
Gabin au violon

J’écrase un mégot,
Constat au bourdon

J’suis né par accident, lendemain d’une dispute
Pour tomber violemment au sol sur un contre ut !

Quand Jules est au saxo,
Gabin au violon,
J’deviens chef de plateau et ça tourne rond

Gershwin à Marignan,
Livré clés en mains
C’est très très élégant,
J’le garde pour la fin

Allons-y pour la scène de Jeanne au bûcher
Ce n’est plus la peine, tout est consumé !

Jules César au saxo, Cambronne au piston.

J’écrase un mégot, Constat au bourdon !
(Mais joue, Jules !)
Ramsès au Tuba, Hitler en Hindou,
Je caresse la caméra, non j’ne suis pas fou

Touchez pas à mon ciné, sinon j’tue quelqu’un !
Touchez pas à mon ciné, j’ai rien dans les mains !

Ne coupez pas, c’est fragile ! J’vais vous arranger ça !
Ne coupez pas, c’est débile ! Vos gueules, j’tourne !
Vos gueules, j’tourne ! Touchez à rien, j’veux rêver !

Ne coupez pas, c’est fragile ! J’vais vous arranger ça !
Ne coupez pas, c’est débile ! Vos gueules, j’tourne !
Vos gueules, j’tourne ! Touchez à rien, faut rêver !!

06.DETECTIVE PRIVE

J’visite les lumières de la ville... Ohé !!
J’évite les sentiers de l’exil ! Voyez !!
Je grimpe aux murs, je saute, je cherche partout !
Y a plus d’amour, tu ne viens plus chez nous.

Quelquefois quand la rumeur dépasse les idées folles,
J’ai l’espoir qui cogne au cœur
La paupière que s’décolle.
Alors, si je prends la loupe, c’est pour te retrouver.

Dès le soir, j’me fais la coupe du détective privé,
Détective privé, détective privé
Détective privé, détective privé

J’visite les lumières de la ville... Ohé !!
J ’évite les parkings, les asiles... Voyez !
Je grimpe aux murs, je saute, je cherche partout,
Ya plus d’amour, tu ne viens plus chez nous,
Élémentaire, mon cher Watson, la ville brille sous la pluie !
Au trottoir, la pute frissonne, dollars et mélodies.

Oh amour, tu cours ! Mais pourquoi te cacher ?
Laisse une empreinte, une étreinte, une pièce d’identité !

Au fond d’une cour, deux grands yeux,
Sortez !! Vous êtes cernés !
Je ne te veux aucun mal, seulement te demander,
Amour, qu’est-ce que tu fous là, sans une larme à pleurer
Amour, j’suis détective ! De toi, je suis privé !
Oh !
Détective privé, détective privé.
Détective privé, détective privé.
Détective privé, détective privé.
Détective privé, détective privé.

08.MOI, PAS IDIOT !

Rien n’va plus, tout est beau. Croupier à Lugano,
Je promène mes cerises dans les bars, les tripots !
Tout me fascine.
Pousse-pousse jusqu’à la ruine,
Sur un petit coup de dette. J’ai misé ma geisha
Mais qui me ceinture, qui me torture,
Plumé comme le dernier des mohicans.

Moi pas idiot, comprends bien moi pas là elle pas sage à tous les niveaux...
Moi pas idiot, comprends pas les amis, y a trop d’monde sur la même radio

Longtemps joué le rock, tenté taper le pok
Forcé d’troquer mon froc au parvis d’une prison

J’suis pas politique, j’fais pas alcoolique
J’suis du parti adverse à ceux qui m’contrarient

Fatiguée d’être belle, elle joue à la marelle,
Sur un mat’las à remords, elle fait chanter sa vie !

Moi pas idiot, comprends bien moi pas là,
Elle pas sage à tous les niveaux

Moi pas idiot, je traverse vilaine vie
J’fais pas gaffe à tous les signaux


Dois-je parler plus bas ? Recompter mes doigts ?
J’ai les mains pas très juste, les pieds qui vont pas droit.
Éloigne-toi du phono, prends garde à tes grelots.
Y a du plastic dans l’air, comme un relent d’calvaire.

Chaque semaine, je change de dégaine
J’déguise mon inconscience et ma vertu.

Moi pas idiot, comprends bien moi pas là elle pas sage à tous les niveaux...
Moi pas idiot, comprends pas les amis, y a trop d’monde sur la même radio
Moi pas idiot, je traverse vilaine vie j’fais pas gaffe à tous les signaux
Moi pas idiot, comprends pas les amis, y a trop d’monde sur la même radio

J’avais pris un ticket pour la séance du soir,
C’était pas jour de chance,
J’étais un peu en retard,
J’avais pris un ticket pour n’importe quoi.

Une vieille envie de vivre... Un secret...
Bien caché tout au fond de moi
(puis) je me suis assis en silence,
Sur un je ne sais quoi
Quoique l’on dise, quoique l’on fasse
Toujours quelqu’un qui prend la place
Toujours debout droit devant toi,
J’vois jamais rien, j’ai plus la joie
J’serrais très fort un sucre d’orge
Quand l’film a commencé

Assis !! Assis!!
J’vois pas très bien comment faire mieux
Toujours quelqu’un devant les yeux ??

Assis !! Assis !!

Tu pourrais quand même courber l’dos
Baisser la tête, changer d’chapeau.

Assis !! Assis !!

T’auras beau dire, t’auras beau faire
T’auras toujours le cul par terre...

Assis !!!

10.CHATTE, CHATTE

Fais la moue, mieux que personne
J’me souviens plus de ton corps
T’es trop loin du mégaphone
A l’enfer du décor !

Pas pleurer bébé phoque
Pas penser Marilyn,
Faut songer changer d’époque

Faut quitter naphtaline

Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords...
Fille ou reine, reviens sur un lit...
Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords
Fille ou reine, fais-nous la moue... B.B.
Focus

L’est pas blonde la Joconde,
Leonard fout l’cafard
Reviens jouer les blondes
B.B. folle... B.B. star.

Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords...
Fille ou reine, reviens sur un lit...
Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords
Fille ou reine, fais-nous la moue... B.B.
Focus

Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords...
Fille ou reine, reviens sur un lit...
Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords
Fille ou reine, fais-nous la moue... B.B.
Focus

Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords...
Fille ou reine, reviens sur un lit...
Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords
Fille ou reine, prends-moi dans ton lit
Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords
Fille ou reine, prends-moi dans ton lit

Chatte, chatte, tu dors,
Chatte, chatte, tu mords
Fille ou reine, ...






D'après Mahto 83

Les mots de "La Gare de Troyes" rentrent quai n°2, voie 6  (Source "The Spirit of the Rock.com")

 
1. LA GARE DE TROYES

Histoire de train / histoire de rire
Un quai plein de valises, de mouchoirs humides.
Histoire de rire, histoire de train,
On est à l'aube d'un grand départ.

..Un Ulysse de première classe tend un regard pitoyable
Sur Pénélope, quai numéro deux, voie 6.
C'est toujours comme ça un train qui part...
La Gare de Troyes n'aura pas mieux !
Et Pénélope retourne à ses pâtisseries
Dans un trois-pièces sordide, entre Télémaque,
Téléphone et Table de nuit...

C'est toujours comme ça un train qui part...
La Gare de Troyes n'aura pas MIEUX !
Change ta vie, tu dérailles, MIEUX !
Change de file, change de rails !
Grill-express, 8h30. Petit déjeuner.

Les yeux d'Ulysse cherchent et tombent
Sur la Belle Hélène qui, bonne poire, succombe...
C'est toujours comme ça un train qui roule...
La Gare de Troyes n'aura pas MIEUX !
Change ta vie, tu dérailles...

MIEUX... Change de file, change de rails !
MIEUX... Change ta vie, tu dérailles...
MIEUX... Change de file, change de rails !
Faut pas faire ci, faut pas faire ça,

Toujours sur les mêmes rails, toujours sur la même voie.
Faut pas faire ci, faut pas faire ça,
Toujours sur les mêmes rails, toujours sur la même voie.
J'ai toujours eu un train de retard...
La Gare de Troyes n'aura pas MIEUX !
Change ta vie, tu dérailles, MIEUX !
Change de file, change de rails !


2. A SAUTE MOUTON

A quatre pattes,
J'te délire, tu m'épates...
A saute-mouton !
A quatre pattes,
Tu me gifles, je te chatte...
A saute-mouton !
Fort de vouloir te creuser un tunnel sous la hanche
Je m'avance doucement tout au fond d'ton cinéma de minuit !
Faute de pouvoir décalquer nos lundis en dimanches
Alors on s'lave, on s'lève, on s'lave et on s'étreint de nuit
Pour ne pas que les jours soient gris !
A quatre pattes,
Tu m'dégustes à la carte...
A saute-mouton !

A quatre pattes,
On s'déchire, on s'éclate...
A saute-mouton !
Faute de pouvoir me rêver un éternel amour
Je vais, je viens, je cours, je vole ton cinéma de minuit !
Faute de pouvoir s'allonger sur un lit de toujours,
Alors on s'lave, on s'lève, on s'lave et on s'étreint de Nuit
Pour ne pas que les jours soient gris !
A quatre pattes,
J'te délire, tu m'épates...
A saute-mouton !


3. QUESTIONS D'GENERATIONS

PERE :

T'nerve pas, retiens tes larmes,
Pourquoi tu tires sur le signal d'alarme ?
Tu vas pas changer le fil de l'histoire...
Attention !

Fils :

Mai 68, tes soixante ans...
Puis comme le grand-pre, les pieds devant
Fallait pas rester sur le marchepied...
Attention ! Au dpart ! Fermez les portires !
Y'EN A MARRE ! PLUS QUE MARRE D'VOS QUESTIONS D'GENERATIONS !
OH, J'EN AI MA RATION D'VOS QUESTIONS D'GENERATIONS !

Pere:

T'as pas cent balles, t'as pas cent francs
Y'a plus de chauffage dans mon compartiment
J'ai laiss tous mes rves sur le marchepied...
Y'EN A MARRE ! PLUS QUE MARRE D'VOS QUESTIONS D'GENERATIONS !
OH, J'EN AI MA RATION D'VOS QUESTIONS D'GENERATIONS !
T'as pas cent balles, t'as pas cent francs, dis ? (bis)

Fils :

Moi j'suis pas vieux, moi j'ai pas peur
Y'a mon p'tit train qui file toute vapeur
Si on s'retrouve tous la prochaine gare,
Attention ! Au dpart ! Fermez les portires !
Y'EN A MARRE ! PLUS QUE MARRE D'VOS QUESTIONS D'GENERATIONS !
OH, J'EN AI MA RATION D'VOS QUESTIONS D'GENERATIONS !


4. VA T' EN

Non mais ça va pas ? J'attendais pas ça de toi !
Tu vends de drôles de joujoux à de drôles de Pères Noël, Pères Noël
Pourquoi tu fais ça, un grand garçon comme toi ?
Le mensonge allonge le songe en grimaces grotesques, c'est Grotesque...

C'est grotesque... Tu es grotesque !

Ne pressez pas sur la gachette ! C'est trop con ! c'est trop Bête !
Ne cherche pas d'où vient le vent, c'est plus comme avant...
Laisse tomber tout ça ! Tu peux rentrer chez toi...
Le marchand d'sable est passé, remonte sur ton nuage, ton Nuage,

T'as raté ton gag à nager au creux des vagues !
La houle te roule en boule, tu mouilles dans un naufrage, un Naufrage,
Un naufrage, c'est un naufrage...
Ne pressez pas sur la gachette ! C'est trop con ! c'est trop Bête !

Ne cherche pas d'où vient le vent, c'est plus comme avant...
Ne pressez pas sur la gachette ! Va-t'en ! Va-t'en !
Ne pressez pas sur la gachette !


5. LES MOMENTS BIZARRES

Qu'est-ce que je fous dans ce restaurant tuer la vie ?
Tuer le temps, tourner ma veste, les uns s'en vont, les Autres restent.
Les autres... Ah ! Parlons-en ! Tous de faux miroirs, des Ombres barbares,
Des revenants, de la cire cauchemar, des conquérants, tous La meme gueule,

Le mme visage, les memes semblants, le meme regard...
Comme c'est bizarre ! J'les ai déja vus quelque part, mais o
Oh c'est bizarre ! Je les ai meme vus souvent mais quand ?
Qu'est-ce que tu fous dans ce restaurant bouffer d'l'ennui, Gommer ta vie,
Tes maladresses tel une momie dans les band'lettes, prends Pas la meme gueule,

Le mme virage, fais pas semblant, 'l'est pas trop tard...
Comme c'est bizarre ! J'les ai déja vus quelque part, mais o
Oh c'est bizarre ! Je les ai meme vus souvent mais quand ?
Vous avez dit "strange", mon Dieu comme c'est drole...

Un instant, j'ai cru revoir Jouvet, j'ai cru revoir Jouvence,
Je me suis vu tout vieux, je vous revois tout jeune, vaincu, Perdu...
Peut-etre Venise, Honolulu, attendez... Syracuse ? Non, Chaumont !
Troyes... J'sais plus... J'viens de glisser dans un trou de Mémoire
J'ai cru qu'vous m'aviez vu...

Mais c'est bien sur, on est comme les autres, on vit, on Creve,
Ils sont pas des notres avec cette meme gueule, ce meme Visage,
Les memes semblants, le meme regard...
Comme c'est bizarre ! J'les ai déja vus quelque part, mais o
Oh c'est bizarre ! Je les ai meme vus souvent mais quand ?


6. SHEHERAZADE

Faut penser faire les comptes des mille et un ennuis,
Ma douce Shhrazade, c'tait pas l'paradis !
Moi, je voudrais que tu me reviennes, que tu m'ries, que tu M'pleures,
Reviens mouiller ma chemise, ça vaut mieux que la sueur....
J'avais des gants blancs, c'tait pour mieux passer l'hiver !
J'avais des gants blancs, j'voulais pas tout foutre par Terre...

Ca valait pas le coup qu'je m'use t'expliquer un enfant,
Ca valait pas le coup qu'je force sur les médicaments,
Moi j'voudrais qu'tu m'reviennes, que tu m'ries au coeur...

Ca sent l'apocalypse tout au fond d'mon bonheur...
J'avais des gants blancs, c'tait pour mieux passer l'hiver !
J'avais des gants blancs, j'voulais pas tout foutre par Terre...

Mais a sonnait faux...

Faut penser faire les comptes des mille et un ennuis,
Ma douce Shhrazade, c'tait pas l'paradis !
J'voudrais qu'tes yeux reviennent m'offrir de grands Silences,

Que du reve ton corps, je crie l'indifférence...
J'ai mis des gants blancs, on pourra mieux passer l'hiver !
J'ai mis des gants blancs, dis ! Tu vas pas tout foutre par Terre !


7. LES JARDINS

Chouette ! Une fleur ! Ca bouge, зa rit, зa meurt,
Chouette ! Une fleur ! Ca chante toutes les couleurs !
Tiens ! Une fleur, posйe tout contre ton coeur...
Ca te fout des jardins plein les yeux, plein les mains !
J'ai une fleur perdue, tout prиs de mon coeur,

J'ai une fleur, la folie des grandeurs,
J'ai une fleur qui vibre en mai les heures
Qui me fout des jardins plein les yeux, plein les mains !
Chouette ! Une fleur ! Ca plie, зa rit, зa pleure

Chouette ! Une fleur ! Pour calmer ta douleur
Tiens ! Cette fleur, prends-la tout contre ton coeur,
Qu'elle te foute des jardins plein les yeux, plein les mains
Qu'elle te foute des jardins plein les yeux, plein les mains


8.NEUF HEURES

Il est déjà 9 heures et j'me balance au bout d'mon coeur...
Il n'a jamais fait si froid !
Il est déjà 9 heures, et j'm'en balance et j'ai pas peur...
Il fait quand même un peu froid...
Ils m'ont dit "à 8 heures" j's'rais remplacé, j'irais Manger,
J'aurais du tabac, du café...
On m'avait pourtant dit qu'tout irait bien,
Qu'il y aurait plus la guerre !
On m'avait pourtant dit que j'verrais rien,
Alors pourquoi toutes ces lumières ?
..Il fait toujours aussi froid !
On m'avait pourtant dit qu'tout irait bien,
Qu'il y aurait plus la guerre !
On m'avait pourtant dit que j'risquais rien,
Alors pourquoi tout ce mystère ?
J'ai peur ! Puisque je vous dis que j'ai peur !
T'as pas peur, toi, dis ?
Il est passé 9 heures, et j'me sens mal au bout d'ma chance,
Il a jamais fait si triste !
Il est passé 9 heures, et j'suis comme un con, j'suis comme Un pion,
Le dernier sur la liste...
Il est passé 9 heures, j'ai peur de vous, j'ai peur de tout,
J'suis qu'un raté, un Jésus kyste...
Il est passé 9 heures... Il est passé 10 heures...
Il est déjà mille ans !!!
Oh ! Laissez-moi courir l'espace, oh, laissez-moi refaire le Temps !
Oh ! Y'a des oiseaux qui passent pour tuer notre vie,
Qui tracent et qui effacent Samson et Dalila,
Samson et Dalila !
Il est passé des heures, et j'me balance au bout d'mon Coeur...
..Qu'est-ce que j'ai fait de mon tabac ?


9. TOUT BLEU

Comme un papillon de nuit, aveuglé par la lumière,
Comme le papillon qui fuit, je trouve plus que la marche Arrière.
Effiloché, décousu, je m'éteins tout doucement...
Comme un éphémère traqué que la lumière hypnotise,
Un éphémère disloqué, écrasé sur un pare-brise

Qu'on me répare les heures stupides,
Qu'on me répare rien qu'un instant !
Toi qui marche dans le vide, n'hésite pas, n'hésite plus...
La rage au ventre, le ventre vide, je te confie nos coeurs p
Perdus,
Remets ton habit de lumière, refais le clown, rien qu'un Instant...

Tout bleu ! Tout bleu ! Tout bleu !
Tout bleu ! Tout bleu ! Tout bleu !
Je pars vous cueillir une étoile, vous brosser juste une Toile sur ...l'éternité
Je vous redessinerai l'espace, le pied fragile sur les Traces d'une ...éternité

C'est juste à gauche après la lune, dans ma tête y'en a Qu'une !
'L'est toute bleue et qui m'aime me suive !
Laissez-moi glisser sur vos larmes, laissez-moi caresser le Charme de l'étrernité

Je vous redessinerai la race, libre et docile, sur les joues D'un pierrot...
C'est juste à gauche après la lune, dans mes yeux y'en a Qu'une !

'L'est toute bleue et qui m'aime me suive !
Venez décrocher la lune, venez manger la fortune sur L'éternité...
C'est facile : suivez mes traces, je vous retrouve dans les Yeux d'un enfant !
C'est juste à gauche après la lune, dans mes yeux y'en a Qu'une !

'L'est toute bleue et qui m'aime me suive !
Tout bleu, j'te veux dans le coeur, dans les yeux, tout Bleu, tout bleu,
Tout bleu !
Tout bleu, j'te veux dans le coeur, dans les yeux, tout bleu




d'après Thierry 26740

Les mots fous (pas tous...) de l'opus FOU ( 1984)   


1/Les yeux d'un fou ( source musixmatch.com)


Combien vous êtes, combien vous êtes, combien vous êtes, co
mbien vous êtes, combien vous êtes de l'autre côté d'l'amour, com
bien vous êtes, combien vous êtes de l'autre côté du jour.
Combien vous êtes, combien vous êtes de l'autre côté d'l'amour.
Je perds la tête je perds la tête tout seul dans la cour.
Entre le manège et les chevaux de bois,
j'ai quitté l'cortège le jour qu'il faisait froid.
Je hais les gens qu'ont pas de cœur,
Je hais les gens qu'ont pas de cœur, j'aime pas les cris,
j'aime pas les coups, je hais les gens qui font la guerre,
je hais les gens qui font la guerre,
si tu crois l'amour tabou, regarde bien les yeux d'un fou.
Combien tu m'aimes, combien je t'aime, c'est combien l'amour?
C'est pas la fête, c'est pas la fête, tout seul dans la cours, e
ntre les colères le bruit et le silence,
je suis le débile qu'on pend et qu'on balance.
Je hais les gens qu'on pas de cœur,
je hais les gens qu'on pas de cœur,
j'aime pas les cris, j'aime pas les coups.
Je hais les gens qui font la guerre,
je hais les gents qui font la guerre,
mais si tu crois l'amour tabou,
regardes bien les yeux d'un fou, regarde bien les yeux d'un fou.
Combien vous êtes, combien vous êtes de l'autre côté de l'amour.
Je perds la tête, je perds la tête, tout seul dans la cours.
Je hais les gens qu'on pas de cœur,
je hais les gens qu'on pas de cœur,
j'aime pas les cris, j'aime pas les coups.
Je hais les gens qui font la guerre,
je hais les gens qui font la guerre, si tu crois l'amour tabou,
regardes bien les yeux d'un fou, si tu crois l'amour tabou,
regardes bien les yeux d'un fou,
regarde bien les yeux d'un fou,
regarde bien les yeux d'un fou, regarde bien les yeux d'un fou.


2/"(Je N'suis) Là Pour Personne"


3/ "Piège À Cœur"

4/ "Harmonie"  (source paroles-musique.com)

J'ai oublié d'te dire
Quand tu sortiras
Pense à ta couvrir
Tu vas prendre froid
La neige est si triste
Que les coeurs se givrent
La neige est si triste
Je l'entend qui vibre
Une histoire à suivre
Le bruit de tes pas

J'ai oublié d'te dire
Quant tu m'ecriras
Pense à te relire
Au moins une fois
Pt ' être qu'entre les lignes
il reste un sourire
Pt ' être qu'entre les lignes
J' te verrai sourire
Tu viendras me dire
Que tu m'aime encore

Harmonie, j'ai jamais su ton nom
Harmonie, j' imagine
Harmonie, c'est peut être ton nom
Harmonie, difficile

J'ai oublié de pleurer
Tu m'en voudras pas
C'est resté coinçé
Tout au fond de moi
C'est comme une étoile qui veut pas mourrir
Merde, mes yeux se voilent
J'essaie un sourire
Un dernier délire
Moi je t'aime encore

Harmonie, j'ai jamais su ton nom
Harmonie, j' imagine
Harmonie, c'est peut être ton nom
Harmonie, difficile

J'ai oublé d'te dire
Quant tu reviendras
N'essai pas d'ouvrir
Surtout n'appelle pas
Si t' reste encore
La clef d'un sourire
Garde la très fort
Et vas t'en viellir
Je viendrais t'ouvrir
Juste après la mort

Harmonie, j'ai jamais su ton nom
Harmonie, j' imagine
Harmonie, c'est peut être ton nom
Harmonie, difficile, difficile
... Difficile
...Difficile

5/"Les Fous Demandent Un Roi" (source lyrics.fandom.com)

Ordinateur:
Il était une fois un pays en forme d'hexagone, habité par des fous, dirigé par des guignols. Les guignols prétendaient que les hommes étaient égaux, libres et frères. Bien vite les fous découvrirent la supercherie.

Fous de la terre de France,
Attelons les chevaux de feu.

Fous de la terre de France,
Chassons les briseurs de rêves.

Fous de la terre de France,
Nous avons fait le choix.

Les fous demandent un roi!
Les fous demandent un roi!

Un roi de coeur, qui donnerait sa vie,
Un roi Soleil, un roi de comédie.
Un roi de pique, qui donnerait son coeur,
Un roi folie, un roi de coeur.

Le roi Soleil, qui donnera sa vie.
Je le connais, c'est toi, c'est moi, c'est lui!

Le roi Soleil, qui donnera sa vie.
Je le connais, c'est toi, c'est moi, c'est lui!

Ordinateur:
Et l'enfant demanda au roi: "Dessine-moi un coeur. Dessine-moi un coeur. C'est comment, un coeur?"

Le Roi:
Un coeur? C'est comme ça...

6/"Guignols"

7/ "Guignols" (La Chasse)

8/ "Fou"

9/ "Crever d'Amour" - Prélude -(source lyrics007.com)

Partir pour mourir sur ton corps
Se faire l'amour avant la mort
Egrainer nos yeux sur un désir
Partir pour jouir plus encore, chaque nuit
De plus en plus fort

Jusqu'à toujours, pour mieux s'endormir
S'endormir
Jouir à ne plus en pouvoir
Le cœur sur le fil du rasoir, à bout de souffle
Heureux à crever
Crever... Crever d'amour

Crever d'amour, de plaisir
Se griffer sans jamais souffrir
Entendre ton sang cogner comme un tambour
Crever d'amour, s'envoyer en l'air
Plus jamais revenir sur Terre
Vivre que pour ça... Et en mourir un jour

Crever... Crever d'amour
Crever... d'amour

10/ "Crever d'Amour" - Coït Terminal -

Quelques mots de l'Opus "Tout Feu, tout flammes" (C'est pour de rire)  

1/Tout feu, tout flamme (source paroles-musique.com)



la peur enveloppe
Mon âme impure
Pour la plonger
dans sa torpeur
la peur m'injecte sa froidure
Afin que Satan
Gère mon cœur

Dans mon ciel noir
Un soleil déchire le voile
je suis tout feu tout flamme
rêveur devant une trame
Je sais caresser le vent

La neige est crasseuse
Les arbres morts
les mots je t'aime
Au gré du froid
L'hiver est rude
pour les condors
qui cherchent abris
au feu d'espoir

Dans mon ciel noir
un soleil déchire le voile
Je suis tout feu tout flamme
rêveur devant une trame
je sais caresser le vent

2/Tout contre tout


3/Coquille d’œuf


4/C'est Pour De Rire


5/  "Sur les Grands Espaces Bleus" (Source Musix match.com)



Si tu t'imagines qu'un ange a perdu ses ailes
Qu'il est parti mourir sur les fesses du bon Dieu
C'est que tu as perdu le fil
Qui va de la lune, de la lune au soleil!

Au-delà du système, au-delà du délire
Il existe une étoile qui nous ressemble un peu
Au-delà du système, je veux te voir venir
Voler sur les grands espaces bleus

Si tu t'agglutines au vieux parfum de mes rêves
Si je force la main qui dessine le bonheur
C'est pour mieux retrouver le fil
Qui va de la lune, de la lune au soleil!

Au-delà du système, au-delà du délire
Il existe une étoile qui nous ressemble un peu
Au-delà du système, je veux te voir venir
Voler sur les grands espaces bleus

Si tu t'imagines qu'un ange a perdu ses ailes
Qu'il oublie ses amis trop loin du paradis
C'est que tu as perdu le fil
Qui va de la lune, de la lune au soleil!




6/ 3 x 1 = nous




7/ J'Suis Pas D'Ici




8/ Il est le Soleil

Quelques termes moyenâgeux...  

1/ Tueuse à gages


2/ Le premier arrivé attend l'autre


3/ Opéra-bouffe ou la Quête du Gras


4/ Les mots simples


5/ MOYEN-ÂGE


a) Un goût de pain perdu


b) CAMELOTE (Christian Décamps - Thierry Sidhoum)


Je n'ai jamais aimé les moules...Le format m'ennuie.Les schémas, les cours d'histoire, l'odeur de la suie...Toute cette camelote tourne dans ma tête.Tant de balles, tant de cabales, hurlent et se bousculent dans mes rêves.Dans mes rêves...Je déteste les pitres des magazines, les lundis sous la pluie, les pédophiles de la Sixtine, la bible, leurs non-dits...Toute cette camelote DÉGOUPILLE ma haine. Tant d'enfants, tant de soldats, hurlent et se bousculent dans mes rêves, dans mes rêves...Qu'est-ce que j'fous au Moyen-âge ? Qu'est-ce que j'fous ici ?Impuissant, pris en otage d'une démocratie...Où vont mes rêves ?
Qui saura lester ma peine par-delà le pire ? Qui saura briser mes chaînes ? J'ai besoin de fuir toute cette camelote qui brûle au cœur de mon cœur . Tant de cendres, tant de cauchemars hurlent et se bousculent dans mes rêves...Et j'en crève !
Si tu continue à m'embêter, j'y dis à ma maman...
Dans mes rêves.


c) Le cri du samouraï



d) A la cour du Roi Nombril


e) Les clés du harem


f)  Je ne suis pas de ce monde


g) Entre les gouttes


h) Abracadabra

"Si matin le premier papillon se pose en coussin sur...)

Un petit mail de ma fille (adorée ), Noémie, pour illustrer ce vers du "Chien, la Poubelle et la Rose"
L'objet de ce mail est : HEUREUSE....

Ce matin en embauchant ! 
Une petite merveille ! 
Je suis aux « Ange » hi hi .
Gros bisous