J.-C Garnier (viticulteur ) -Freddy Boisliveau
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J.-C Garnier (viticulteur ) -Freddy Boisliveau
EGNA Jeu 4 Mai 2023 - 7:47
Le site et l’équipe de première ligue, ligue 1 de foot du Chabada, lieu où quelques soient les raisons pour lesquelles on s’y rend l’expression prendre son pied revêt toute son acception, s’en est déjà chargé de par sa communication, lourd travail que d’annoncer l’anniversaire du festival Lévitation dont le grand frère américain est né à Austin la texane ville jumelle d’Angers l’enjouée. Par la magie d’un alignement planétaire celle d’Austin, du Chabada et de la société de production radical, ce festival de rock Psyché, invitait la population du coin à célébrer les dix années de Lévitation à la française avec un « e » accentué. Toute cette affaire de pieds en tous genre, de vigne en l’occurrence, dits ceps, ce déroulait à la perfection, sans abus, le vendredi 28 avril de cette année millésimée, 2023.
Accentué, un terme approprié aux nectars de jus de raisins fermenté, blancs et noir. La xénophobie n’était pas de mise durant cette soirée entre ami(e)s, préposée gratuitement à la dégustation chez le bar à vins chaussette, bar qui passe autant inaperçu que celles des passants devant, ce qui est navrant.
À plus d’un titre, deux précisément. Un duo de morceaux de musique chacun d’une longueur assez grande, juste le temps de laisser aux fins palais bienvenus dans ce lieu hors du commun, d’apprécier les cuvées de J.-C Garnier, viticulteur claviériste dont le vignoble se repose au soleil de la douceur angevine dans la bonne terre de Saint-Lambert-du-Lattay cette commune (petite) où reposent les restes de l’acteur jamais récompensé pour son excellent jeu, Patrick Dewaere. Donc Patrick avec J.-C, (Jean-Claude, Jean-Christophe ou Jésus Christ), prénom que l’intéressé n’a jamais voulu m’avoué puisque j’étais de la fête, Saint-Lambert possède deux célébrités. Si Monsieur Garnier accompagné par Freddy Boisliveau lui-même accompagné de sa guitare (électrique), après nous avoir psychédéliquement transporté vers d’autres horizons plus loin que l’habituel durant les deux longs et dits morceaux de zique précités, musique qui n’est pas d’opéra malgré l’homonymie de patronyme de son auteur avec l’architecte de celui de Paris, si J.-C n’a point voulu me révéler son réel prénom, par contre c’est avec délectation dans la prononciation qu’il ma levé le mystère des noms de ses deux grands crus du moment, moment festif au possible. Un vin blanc baptisé « Rouge fer » (sic ! et lol) et un vin rouge non pas nommé « Blanc d’acier » mais tout simplement « Grolleau » ou « Gros lot » voir « Grelot », au choix. Tout cela pour dire que le rouge servi pas longtemps après le blanc de J.-C ne possède pas de nom particulier ; non baptisé ce rouge à la couleur légère, légèrement rosée, ne doit pas être chrétien.
Sous la protection de Saint Simon et sa dame Anne-Hélène, tenanciers autant adorables que serviables de la Chaussette, le public averti dans les deux domaines des notes, celle de la portée et celle fruitée des vins de l’année, était ravi, je l’étais tout pareil qu’une belle partie du staff chabadesque présent (Mélanie au micro, Séverine à la vaisselle, Louise au bar and C° au je ne sais plus; staff ni méchant ni américain, je n’ai ni aperçu, ni discuter avec un ou une quelconque austinien(ne), austinite ou austinois(e), encore un mystère, à part peut-être un individu à l’allure cow-boy qui, contrairement aux recommandation de la ligne écologique du Chabada, était venu sur les lieux sans autres crimes que ceux d’écouter et de déguster avec son Austin 1000 de 1994, la même bagnole qui lui avait permis de conduire jusqu’à ce Chabada qui s’inaugurait en cette année du XX ème siècle. Par contre j’ai échangé avec Simon qui m’a tout expliqué concernant le tannisage des cépages, une affaire de peaux rouges ou blanches broyées dans leur pur jus.
Enfin et pour presque conclure cette belle soirée dans la Chaussette et sur son trottoir pour fumeurs, soirée toute en Lévitation (association de bienfaiteurs de Chaussette pour Chat-bada), il me semble pour parfaire le pied de ce beau et bon moment de lever le tout dernier mystère, pourquoi Chaussette ?
Tout simplement oserais-je affirmer, parce qu’il est habitude dans ce bar à vins où nous étions cent voire plus, de servir le client sans qu’il sache ce qu’il va boire tout en lui recommandant, en recouvrant la boutanche non pas d’une manche mais d’une chaussette, ainsi le buveur surpris par le bon goût, veut en savoir plus sur son compte et au patron de découvrir de sa chaussette le breuvage en sa bouteille.
C’est encore Simon qui m’en instruisait, car en fréquentant cette salle mythique de concerts mais pas que et ses succursales figurez-vous que l’on s’instruit.
Merci à toutes les équipes. Match nul 20 sur 20.
LES IMAGES
Accentué, un terme approprié aux nectars de jus de raisins fermenté, blancs et noir. La xénophobie n’était pas de mise durant cette soirée entre ami(e)s, préposée gratuitement à la dégustation chez le bar à vins chaussette, bar qui passe autant inaperçu que celles des passants devant, ce qui est navrant.
À plus d’un titre, deux précisément. Un duo de morceaux de musique chacun d’une longueur assez grande, juste le temps de laisser aux fins palais bienvenus dans ce lieu hors du commun, d’apprécier les cuvées de J.-C Garnier, viticulteur claviériste dont le vignoble se repose au soleil de la douceur angevine dans la bonne terre de Saint-Lambert-du-Lattay cette commune (petite) où reposent les restes de l’acteur jamais récompensé pour son excellent jeu, Patrick Dewaere. Donc Patrick avec J.-C, (Jean-Claude, Jean-Christophe ou Jésus Christ), prénom que l’intéressé n’a jamais voulu m’avoué puisque j’étais de la fête, Saint-Lambert possède deux célébrités. Si Monsieur Garnier accompagné par Freddy Boisliveau lui-même accompagné de sa guitare (électrique), après nous avoir psychédéliquement transporté vers d’autres horizons plus loin que l’habituel durant les deux longs et dits morceaux de zique précités, musique qui n’est pas d’opéra malgré l’homonymie de patronyme de son auteur avec l’architecte de celui de Paris, si J.-C n’a point voulu me révéler son réel prénom, par contre c’est avec délectation dans la prononciation qu’il ma levé le mystère des noms de ses deux grands crus du moment, moment festif au possible. Un vin blanc baptisé « Rouge fer » (sic ! et lol) et un vin rouge non pas nommé « Blanc d’acier » mais tout simplement « Grolleau » ou « Gros lot » voir « Grelot », au choix. Tout cela pour dire que le rouge servi pas longtemps après le blanc de J.-C ne possède pas de nom particulier ; non baptisé ce rouge à la couleur légère, légèrement rosée, ne doit pas être chrétien.
Sous la protection de Saint Simon et sa dame Anne-Hélène, tenanciers autant adorables que serviables de la Chaussette, le public averti dans les deux domaines des notes, celle de la portée et celle fruitée des vins de l’année, était ravi, je l’étais tout pareil qu’une belle partie du staff chabadesque présent (Mélanie au micro, Séverine à la vaisselle, Louise au bar and C° au je ne sais plus; staff ni méchant ni américain, je n’ai ni aperçu, ni discuter avec un ou une quelconque austinien(ne), austinite ou austinois(e), encore un mystère, à part peut-être un individu à l’allure cow-boy qui, contrairement aux recommandation de la ligne écologique du Chabada, était venu sur les lieux sans autres crimes que ceux d’écouter et de déguster avec son Austin 1000 de 1994, la même bagnole qui lui avait permis de conduire jusqu’à ce Chabada qui s’inaugurait en cette année du XX ème siècle. Par contre j’ai échangé avec Simon qui m’a tout expliqué concernant le tannisage des cépages, une affaire de peaux rouges ou blanches broyées dans leur pur jus.
Enfin et pour presque conclure cette belle soirée dans la Chaussette et sur son trottoir pour fumeurs, soirée toute en Lévitation (association de bienfaiteurs de Chaussette pour Chat-bada), il me semble pour parfaire le pied de ce beau et bon moment de lever le tout dernier mystère, pourquoi Chaussette ?
Tout simplement oserais-je affirmer, parce qu’il est habitude dans ce bar à vins où nous étions cent voire plus, de servir le client sans qu’il sache ce qu’il va boire tout en lui recommandant, en recouvrant la boutanche non pas d’une manche mais d’une chaussette, ainsi le buveur surpris par le bon goût, veut en savoir plus sur son compte et au patron de découvrir de sa chaussette le breuvage en sa bouteille.
C’est encore Simon qui m’en instruisait, car en fréquentant cette salle mythique de concerts mais pas que et ses succursales figurez-vous que l’on s’instruit.
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