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[31-01-2020] PARIS (75) - Trianon

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Message  EGNA Mar 12 Mai 2020 - 10:53

grrr grrr grrr grrr Je commençais à m'impatienter de ne pas trouver la marque déposée protégée (là) et exceptionnelle des traces des hauts faits qui se sont déroulés - parfaitement - au Trianon de Paname laissée ici, gravée  sur la porte  - en bois ayant travaillé même le dimanche - de notre - je dis "notre" - Roulotte par l'âme du Couteau finistérien légèrement thiaisien un brin helvète.
C'est fait et sacrément bien fait par lui dont le prénom n'est pas Louis mais Marc good .

N'ayant pas laissé de traces écrites sur cet anniversaire angélique mémorable, mon œil (à l'époque) ayant pris le dessus sur mes deux doigts de frappe claviériste, je me permettrais, sans l'esquinter, de rebondir sur quelques passages de cette prose italo-quimpéroise digne de figurer dans la prochaine anthologie poétique mondiale publiée par les Éditions du Pied.
C'est parti mon ami ! razz 

* La nef angélique :  celles de la pochette des "Larmes" !

*Général Machin: grand déserteur de Roulotte, passant sa vie à se vautrer  lol1 sur les poils des fesses du bouc; si bien qu'il n'aura pas loisir de lire ce C.R magistral  shoked.


*ce monument de la culture française: les mots sont simples mais faibles pour signifier l'ampleur  tetine


* Une vue panoramique des toits de la capitale. Parmi les touristes, quelques asiatiques portent des masques de chirurgien. Craindraient-ils la pollution de l’air parisien ? A l’époque je ne savais rien du coronavirus. On repère les tours de Notre-Dame, en deuil, celles de Saint-Sulpice, le Panthéon, la Tour Saint-Jacques et les tubulures multicolores de la raffinerie de Beaubourg, qui doit être connectée au derrick de 320 mètres qui se dresse, au fond à droite. Oui, je sais que nous voyons le centre Beaubourg sous un angle qui ne permet pas de distinguer ses maudits tuyaux:  mon royaume dans ma p'tite tête qui est sortie vaginalement et virginalement aux pieds de la butte, légèrement dans leur marge, dans une salle d'accouchement de l'hôpital Lariboisière en cet hiver "54" où les pierres se souviennent de ce que murmurait l'abbé... embarrased




*A l’entrée, c’est Amandine en personne qui me donne un sac de toile « 50 Ange » contenant une photo du groupe, un beau porte-clés et un stylo aux couleurs de l’événement ; une bise en prime, sans masque. On ne savait pas encore quel péril nous menaçait. : d'autant que notre pauvre Jean-Lucien - éleveur d'âme d'ânes -, à présent roulottier constant et content  razz n'a pu pour cause de Covid19 personnellement chopé, assister aux deux - je dis "2" - soirées angéliques pour lesquelles il avait billets en poche du berger (d'ânes ? ça se dit ? Hi ! Ayi !) razz .



*Parmi les grandes surprises, l’interprétation de Réveille-toi par Tristan.: I am agree with you  shoked , c'est à ce moment là précis que ma péniche a glissée sur le canal...


*Il ne reste plus qu’à attendre la version de Django. : pas sûr, d'après les dires de l'intéressé rencontré au "Motocultor" 2019 juste avant le péril ( pas jaune shoked lol1 lol1 lol1 contrairement à ce que raconte cet abruti de trump).



*Je veux juste faire la bise à Nelly et Roger : incontournable et indispensable action inhérente aux itinérants concerts angéliques (sans oublier les Drômois Raymond et Michèle wink embarrased ).


 
*Il voulait que l’on crée une maquette de cimetière en verre ou en sucre filé pour servir de visuel: je confirme puisque ayant entendu de mes yeux (sic!) ces mêmes propos à Saint-Bresson aux côtés de Denis et toi...


* Il nous avait parlé à l’époque du cimetière du Montparnasse, celui qui était à quatre pas de la maison d’un jeune homme de bonne tenue, chanté par Brassens dans sa Ballade des cimetières. : cela m'aurait étonné que tu ne places pas le Georges dans ce conte... wink




* visiter le Père Lachaise, voire le cimetière Montmartre.: et ses chats dont j'ai tiré maintes fois le portrait argentique wink




* Et nous voilà, non pas sur la Grand-Place (Pas de kiosque où l’on joue Mozart.) : second bon, très bon placement ! wink



Voilà ! J'ai rajouté ma couche d'incontinent à ce monument aux mots qu'il s'agira de commémorer chaque année (dorénavant) tous les 31 jambier
(nous n’aurons pas à faire à pied la traversée de Paris, comme Gabin et Bourvil. wink )






Bon...Il ne me reste plus qu'à bannir les "i" de ce magnifique texte, un exercice qui n'est pas gagné d'avance; je vous tiendrai au courant dans "Philosophons", vu la situation nous n'avons plus qu'à... razz



A bientôt sur la reprise de la vraie Vie et merci Marco verygood
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Message  Couteau suisse Mar 12 Mai 2020 - 13:25

Merci l’Egna, pour tes gentils commentaires. Et puis aussi pour la scène « Gabin-Bourvil-De Funès" de La traversée de Paris. Quand on pense que le producteur, et même Jean Gabin, ne sentaient pas trop Bourvil dans le rôle de Martin… Je sais que cela n'a rien d'original, mais Bourvil me tient au cœur depuis longtemps. J’avais douze ans quand il a disparu. Cent ans après, coquin de sort, il manquera encore. Brassens et lui étaient voisins et amis. Rien d’étonnant.

J'avais un peu tardé. Alors pour me faire pardonner j'ai voulu soigner la forme autant que possible et partager de bout en bout ce que fut cette escapade pour un événement majeur dans l'histoire de l'art français, européen pour ne pas dire mondial. Peut de formations artistiques durent au-delà d'un demi-siècle. Et si les gens de presse de maintenant éludent le phénomène angélique, rien ne dit que les historiens de demain ne remettront pas en lumière cette œuvre originale et gigantesque. Nous sommes trop près du soleil, trop éblouis, trop familiers de ces gens merveilleux, pour prendre la vraie mesure de l'importance de leurs créations. Nous sommes trop affectivement concernés pour concevoir lucidement ce que Christian Décamps et ses équipages auront apporté comme innovations par les notes et le verbe, combien de vocations fertiles ils auront suscitées. 

Dans cinquante ou cent ans les historiens de l’art, les musicologues, les sociologues, remettront peut-être en valeur cette œuvre. Au-delà du système ils referont briller cette étoile qui nous ressemble un peu. Ils en feront un classique. Au début du XIXème siècle, Bach et Haendel étaient presque oubliés. C'est Félix Mendelssohn qui les a remis en lumière. Depuis ils ont vendu des millions de disques. Et dire qu'ils ne le savent peut-être pas.
Nous ne serons vraisemblablement plus là pour savourer l’événement ; pour dire : "J'étais au Trianon !" et nous entendre répondre : "Voilà un brave !".
verygood


Dernière édition par Couteau suisse le Mar 12 Mai 2020 - 17:25, édité 2 fois

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Message  Anamchara Mar 12 Mai 2020 - 16:48

Merci "Couteau Marc" pour ce Cr....que de bon souvenir, Mais moi je l'ai faite cette traversé de Paris...& je ne le Regrette pas,Mais tu vois,les Bretons ce retrouve Toujours....!

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Anamchara, un Ange Celte est passé par là....!
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Message  EGNA Mar 12 Mai 2020 - 17:38

"Nous ne serons vraisemblablement plus là pour savourer l’événement ; pour dire : "J'étais au Trianon !" et nous entendre répondre : "Voilà un brave !".



Va savoir Léonard crazy !

Quel beau moment émotionnel que se " Réveille-toi" Tristanesque (et dire que mon doctor man me déconseille toute émotion ! lol1 )

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Au fait pour nos albums d'images, on pourra les montrer après l'arrivée du nouveau Plouc ?
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Message  patchou Mer 13 Mai 2020 - 8:50

Marc, Merci pour se ( cr complet et rédiger avec Passion ) very happy  et bien sur on attendra vos Photos Gégé

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Message  Mandrin3 Mer 13 Mai 2020 - 11:54

EGNA a écrit:
Au fait pour nos albums d'images, on pourra les montrer après l'arrivée du nouveau Plouc ?

Ouiiii smile1

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Message  EGNA Mer 13 Mai 2020 - 18:26

Mercouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii razz
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Message  EGNA Lun 25 Mai 2020 - 20:57

youpi youpi youpi

Hello les beaux et belles ✌
👍 J'suis guéri, j'ai plus la "ite", je lui ai définitivement tordu le point à cette lettre que j'ai pris en grippe. Après mon exorcisme, tout est rentré dans les ordres et comme promis à Marc (Couteau Suisse l'Imbibé) je lui ai refait le portrait de son "C.R" sur les "50 Ange" au Trianon sans la maudite...
Chose due...Chose due. Une promesse et un culte avant l'heure.
Hé ben mon salaud (là je cause exclusivement au Couteau), il m'en a fait bavé ton joli compte rendu, j'espère que tu t'en rends compte ☺.
Le voici sans saisie

***
[size]
Comment ça ? Le Couteau Helvète, belle personne se trouvant au rendez-vous d’Ange donnez à ses fans en cette salle de concert de Paname élevée au 80 bd de Rochechouart dans le 18 ème de Lutèce le 31/01/2020 et n’ayant pas encore raconté, sur le forum ce que sa psyché a vécu et garder en cage cérébrale de ces mémorables moments ? Cela n’est pas de ses us et coutumes ! 1000 excuses pour le retard de ma lame et ma plume. Déjà 98 jours que mon âme d’Homme a regagné Son bout du bout des terres bretonnes où elle pense et que ma muse n’a pas encore amusée les colonnes du forum -nommé par conven’ange « Roulotte » -(avec mon… Non ! Sa prose. On ne va pas commencer les dérapages, dans ce cas, les modérateurs de la Roulotte sont en mesures accordées par le règlement cyber d’être sévères envers ces vers en forme de prose et de les censurer assurément.

Alors, d’abord, d’abord. Rendez-vous compte ! Dès le 18 fév. 2019, jusqu’au jour « J » du 31 /01/2020, le regard de ce coupon glacé me donnant l’accès au concert des 50 ans d’ANGE c’est posé là sur mon ego scrutant de façon obsédante mon personnage, forcé d’être lorgné par mes yeux , sur le tableau en fer forgé d’Honoré B. de la Touffe (le souffleur de vers, descendants farfelu né de la pensée du « Père Décamps » du représentant le plus connu des penseurs de la 18 ème ère après Jésus cloué menotte en souffrance avérée et assurée sur des morceaux de planche agencé par P. Ponce préfet de Judée aux ordres d’un césar pas encore compressé pour but de récompense aux talents d’acteur, de cameraman ou de metteur en scène, le plus souvent, de rue , pour salles obscures où l‘on entends le ronronnement du projecteur ) en place et en trône près de mon bureau, sans arrêt. Donc cette aventure commence par une année d’attente tendue avec mon passeport en poche sur le bureau ( !) pour embarquer dans la nef de mon groupe rock « made en french » préféré et y fêter les 50 ans de sa présence -peu remarquée par la presse, la T.V et la T.S.F – sur l’haut de la scène hexagonal et au-delà sans se noyer dans celle du fleuve de Lutèce et ses arènes dans lesquelles cette « rock-band » a donné à l’époque une messe pour les non-croyants en elle, prouvant leur tort plus de 50 automnes après . Au centre culturel (entre autre) de Belfort, cette nef vogua dans les eaux tourmentées des aventures d’un va-t-en-guerre, l’épopée d’un Général dont le nom exact m’échappe, un truc genre « Truc ». 50 ans exactement après ces débuts fracassants, le cargo sans blessure à l’avant et son commandant 1er de pontée ont jugé bon de jeter l’ancre dans un autre port, au 80, boulevard Rochechouart, dans le 18ème de Paname. Déjà au courant car au jus, ce ne fut pas un scoop pour nous : les angelots actuels seront épaulés par quelques loups de mer déjà âgés et toujours loufoques d’Ange rompus au lavage du pont de ce long cargo (sans amertume) au cours de ses tours du monde.

Le mystère resta complet et les thèses non argumentées pour la plupart eurent bon être supputées dans les têtes de fans tombés dans le tonneau d’Ange tout jeunots : quel mélomane maestro, joueurs d’organes à notes, de toutes sortes, d’entre les nombreux montés sur le paquebot de Franche-Comté sera réellement là et jouera comme à la belle époque toujours « d’actu » du groupe? Que deux gratteux déjà à l’Éden ne se présentent pas, personne n’en fut étonné, Chouchou et Roby furent là dans nos cœurs durant tout le spectacle. Ayant avant tout le monde (beau) quelques tuyaux sur le nom des présents, ma langue resta nouée, ayant juré (juré !) sans expectorer, restons correct, pour ne pas cracher les morceaux et souffler mots sur les patronymes des hôtes connus que par mon auguste personne.
Pour la seconde époque, ces commensaux à l’agape furent peu représentés : Hervé Rouyer et « Caro » la Crozat (Ah Ah Aya !), plus Jean-pascal Boffo en étendant l’Ange au « Père » et à son rejeton, un duo top. Par contre pour l’avant « 95 », le contenu du chapeau de la tombola est une pléthore de renoms ; lequel monta, lesquels montèrent sur scène à l’heure « H » ? Vous le saurez plus tard. Quand au programme de la fête, les morceaux de l’ANGE sont en tel nombre comment voulez-vous subodorer, présager, lesquelles seront jouer et chanter durant le gala et son show ! Une chose sûre, les adorateurs que nous sommes entonneront encore les heureux élus en chœur tard sur le boulevard de Rochechouart. Compte tenu de la nature de l’événement, on eut pu s’attendre à une remontée temporelle des chansons du groupe, du « Père », de son frère, du neveu de ce frérot et du reste de la bande aux Décamps et au Brézovar (Gratteux de la genèse et de la jeunesse d’Ange); un peu comme le concert des 60 étés de Chr…Du « Père » dans une salle près Bergerac le 11 août 2006 ou le programme de la tournée hurlante de la « 40 ème » dont le départ – top – fut donné en 2010 en l’Olympe salle de la commune où EGNA (Un ange !) a vu le jour en 1954.
L’Ode au plus grand des maréchaux-ferrants de Saulnot en 70 près Vesoul, l’humble âgé de tous les âges fut non contournable et pas contournée tout comme de grand morceaux de bravoure – sans être d’Aznavour – forts probables comme Ces Gens-là, comme le morceau ou « plus d’un goéland vole ton âme » en hommage à la plus belle des œuvres du hasard céleste, comme également le fameux morceau ou le loup de mer sans âge, cocu et alcoolo jusqu’au os perd complètement la boussole et comme (ouf...) la chanson sur le Bossu de Notre-Dame de Paname. Et comme (encore !) la seconde époque possède également ses trésors -cela tombe au top car le « Père » a du coffre- de la Bagnole à eau à Heureux, la troupe n’a pu les passer outre même au-delà de leur renommée. Un jour quand on me demandera de répondre à l’enquête sur l’ANGE (personnel), son comment, sa cause et sa conséquence, dans le Plouc (mag), le Marc sera vachement dans l’embarras et le caca (phone), opter pour tel ou tel autre morceau à réécouter et entendre de nouveau en concert ? Qu’est-ce que cela sera hard, very hard et good also ; tant de valeurs sûres y’a ; Aya aya aya Ah ! Ah !


Je sus avec soulagement, aux alentours de début août, que la bonne vente des places du 31/01 eut pour conséquence de doubler l’événement par un second concert dès je jour d’après, le 01/02. Les gens doucement fous d’Ange sont toujours au rendez-vous, malgré le peu de pub et la retenue plus que réservé exercés par les journaux, la T.S.F et les TV du pays, en regard -aveuglé – du progrès culturel constant et monumental apporté à la planète par ces rockers de tous les temps.
30 et 1, du 01/2020 dès potron-jaquet, 8h 15 à ma montre, mon humble bagage (pas d’Elven) est prêt. Je lorgne mon carton me permettant l’entrée sans encombre pour le concert, tout est en ordre dessus, j’observe également la paperasse pour réserver l’hôtel…Tout est paré pour Par…Paname.
Cap sur la gare d’Auray où je retrouve mon pote, le chauve dont la tête est sur les épaule alors qu’elle, vu son prénom à mon camarade , prénom emprunté à son vénérable ancêtre, actuellement du « 9 » « 3 » en tant que sous-préfecture du département, dans les années onze cents, eut pu être (peut-être : quelle race) sa caboche, sous son bras le temps de redescendre de « Montfaucon », le célèbre Mont de Lutèce où les tronches tranchent et tombent encore de peur de nos jours pour le bonhomme passant près le parlement du P.C, place du colonel...Nous attrapons la rame en gare à 10h 07 ; normalement nous serons à Montparnasse – encore un mont , où Apollon, le perpétuel, s’amuse avec les neuf – à 13 h 04.
Heureux présage, le métro roule normalement et nous n’avons pas à effectuer sur nos petons, la traversée de Paname, comme les deux compères Jean et André lors du tournage de
( https://www.youtube.com/watch?v=XynTJR_Amoc ).
Nous logerons à l’hôtel portant le nom de la préfecture de l’Hérault, à 120 m de la salle où ANGE et ses poteaux (camarades bossant pour E.D.F) se donneront en spectacle plus tard, Ô ! Beaucoup plus ! Notre chambre n’est pas luxueuse, le luxe n’est pas ce que nous sommes venu chercher et nous attendons autre chose avant de nous mettre au plumard, plus tard ! Ô ! Beaucoup plus ! Donc un tel l’hôtel, c’est OK ! D’autant que le type l’entretenant, nous susurre que toutes les chambrées sont occupées par des « tarés de l’ANGE ». La bande des Hells Angels, fans de « Moteur » a et va (Plus tard ! Ô !...) effrayer les alentours d’Anvers et sa bouche de métro. Nous partons pour les repérer, les alentours pas les Hells et non plus les Angels. La salle de concert ne m’est pas étrangère car le 20/02/2016 une date de la tournée « E.Jacotey » y fut programmée. Je comprends tout d’un coup que cette salle jouxte presque celle de l’Elysée-Montmartre à laquelle s’attache une fabuleuse souvenance. En ce 5 novembre 1992 j’y fus pour me délecter du concert d’E.L.P lors de leur tournée « Black Moon ». Sur ce bout du boulevard de Rochechouart nous rencontrons un compère Breton en la personne de Pascal « Anamchara » (son pseudo sur la Roulotte) très connu et vénéré sur ce forum où je rends compte. 16 heures approchant nous avons le temps de flâner et de jouer les voyageurs découvreurs. Cap au nord tout en restant en-dessous du cercle, vers ce monumental cœur globuleux que l’on soupçonne d’être sacré en tant que temple. Pour l’approcher jusqu’à le toucher, les marches à escalader sont durs surtout pour les pauvres malheureux ne mangeant pas assez pour un muscle adapté à ce genre d’effort, une chanson fredonner par « la Dame blanche de S.G des Près » en a parlé et en parle encore pour ceux voulant l’écouter : « Les marches de la Butte sont durs aux malheureux….La la la la » (les paroles ne sont peut-être pas exactes car elle datent tout comme mes souvenances en partances…).
Rendus tout en haut de ces marches, notre effort est récompensé par une vue globale sur les demeures aux couvertures très hétérogènes de la plus grande commune de France et d’après pas mal de personnes la plus belle du monde. D’entre les promeneurs, des personnes venue assurément du Japon où d’une de ces contrées où les yeux on un caractère propres aux autochtones, légèrement fuyant vers les esgourdes, portent des masque bucco-nasaux pour se défendre de toute attaque d’agents pathogènes, où peut-que ces gens là, redoutent probablement la désagréable renommée de l’éther dans lequel trempe la mégalopole formée autour de la Cathédrale de Notre-Dame. Ce fut qu’après cette époque que je sus la présence en France de l’agent pathogène en forme de couronne, né à Wuhan (mégalopole de l’état fondé par Mao Tsé-toung (Zedong) plus grande encore que celle de Paname). On repère les tours de la Cathédrale Notre-Dame encore blessées par l’épreuve du feu tout juste étouffé, celles de temple (non protestant) que beaucoup de personnes ont découverte grâce au roman de Dan Brown sur le graal sacré, le panthéon, la Tour de Jacques le Majeur et les tubulures colorées de Beaubourg dont les tuyaux , dont un très long de 320 m, n’ont nullement transportés de substances en vue de les rendre épurées et ne se doute même pas de l’odeur que peut dégager et des dommages que peut engendrer le pétrole brut. Ok, nous ne voyons pas le Centre « Georges Pompe nos sous » un angle permettant d’appréhender l’ensemble de ses très controversés tuyaux.
Cependant nous les savons accolés autour du Centre près de l’horloge du même nom – Beaubourg – où le dragon est terrassé, blâmée sera la personne mal-pensante sur ces tubes colorés. Étant devant et Anam la découvrant, nous entrons résolus dans la célèbre demeure cultuelle de la Butte symbole du rachat des péchés de ces sauvages révoltés de la Commune en 1871, des monstres que ces rebelles adeptes du « power people » communale et refusant tout retour de tête couronnée ! Lors de notre entrée en la blanche demeure du « Suprême » une messe est en cours. Nous empruntons – chut !- les bas-côtés et le passage des allées et venues des dévots. Qu’on y adhère ou pas la contexture est époustouflante ; surtout les agencements de ces éclats de marbre colorés, de réels tableaux représentants des scènes dévotes telles ce J.C.M.E.C.V (référence au mémorandum A.N.G.E de 1994 pour ne pas désapprendre).
Après nous nous évacuâmes de la vedette de la Butte pour nous rendre au bourg de Montmartre et en retrouver une autre : la place du Tertre.
A cette heure, les faux Van Gogh, Manet et Monet, les faux Umbdenstock, les découpeurs d’ombres, jonchent ce tertre, ce mamelon de butte. Nos pas en foulant les rues de cette bourgade bouffée par la grande métropole nous amènent sur une vue plongeante sur des catacombes où reposent l’ancêtre des poulbots couchés sur les tableaux. A la bouche de métro avant celle nommée « Blanche », cap à l’est, par le boulevard (mêmement nommé que la bouche d’avant la « Blanche ») au bout duquel nous trouvons quelques paroles de la chanson d’Ulmer Georges fredonnée par ses « Compagnons de la Chanson» : « perchée aux flancs de Paname… ». Là, racolent les dames. Retour boulevard de Rose de Rochechouart (Rose n’est pas son prénom…Bon, ce n’est pas grave, elle me fera une fleur pour cette erreur) et à la salle où va se dérouler la fête où nous retrouvons des têtes connues. Les camarades adhérents à U.P.D.L.M sont là pour la bonne cause et sans banderole. Le temps de croquer un casse-croûte et nous retournons dans la queue à la queue leu, ce membre à part s’est sacrément allongé alors que nous ne nous sommes absentés que peu. Nos membres prennent place dedans le majeur presque à l’entrée de l’autre salle d’à côté l’Elysée-Montmartre. Le bus de tournage avec son staff et leurs caméras est garé là pour garder la trace du show nocturne pour le plus grand bonheur de nos sens au futur. Avec Ulule (plate-forme du net de don pour projet), nous avons été nombreux à donner pour lorgner plus tard ces noces d’or d’avec nos angelots de tous les temps et même contretemps, 50 ans ça compte dans le développement de l’Embryon que nous avons tous été et nous sommes content d’Ululer ensemble. En attendant l’ouverture des portes on bavasse avec les gens là à côté de nous, nos « autres ». La dame à mon côté gauche, qu’à le même blase que la nana du Jeannot dans la B.D de Tabary (Jean), est fana du chanteur de « Let’s dance » dont the last opus « Black Star » fut et est black de chez black et mouvant. Les ardeurs de solfège sont belles parce que généralement, comme les « tales of love », elles sont douces et franches même que souvent elles cessent mal en général ; ce n’est pas le cas avec l’ANGE, la preuve, 50 ans que cela dure !
Chacun et une a beaucoup à raconter et l’on ne s’est pas aperçu que la queue s’écourte et avance sans reculer…Hum.
A l’entrée, « l’Amande au Père » en personne me tend un sac en jute « 50 Ange » contenant une photo du groupe, un beau porte-clefs et un stylo haut en couleurs de l’événement. Un « smack » en sus et sans masque (pas 100 masques !!!). Le Corona méchant et encore menaçant au moment où je tape, lettre à lettre, ces mots sur mon portable, est su sans être avéré dans nos contrées.
Les fous d’Ange de l’ouest y sont déjà et se retrouvent à l’orchestre sans jouer sur scène. Ces vénérables personnages et personnes d’âge vénérable vont s’efforcer de rester rectos dans leurs bottes pendant tout le concert, leur godasses ont déjà arpentés les pavés du 18 ème (souvent en pente ascendante et descendantes) et après se sont plantées dans la queue d’attente, ce n’est pas gagné, cela susurré, le panard attendu, même debout de bout en bout jusqu’au bout de la « noche », par ces fous, tout doux, tout doux, vaut largement l’engagement et les efforts !
Oh ! Au balcon c’est l’Umbdenstock le 7ème Ange ! Déjà 10 h et j’me balance d’une patte sur l’autre. Le début va commencer, cela ressemble à un pléonasme.
Un gars tout en blanc déboule sur scène. Ça me rappelle le D-Day d’Harfleur, le 16/05/2015. C’est ça ! C’est le même type ! Justement, comme par hasard, son papa l’appelle au téléphone. On se prend un apéro avec un morceau du « Jouet » opus du plus jeune des Décamps après Django son rejeton gagnant. N’ayant pas tout noté, s’en en être sûr je pense que l’homme en blanc nous a offert la chanson nommée « Sérénade » du Sandro né à Florence -celle du pays de la Rome de Rémus et Romulus- en 1145 et décédé en cette même Florence en 1510 , cet exécuteur et présentateur -pas du journal de 20 h- de fresques en couleurs exécutées à la brosse et autres moyens permettant l’étalement des gouaches et substances grasses pour tableaux tels, certes pas son plus célèbre et connu comme « La Vénus venue au monde dans un mollusque » (bah ! Y’en a c’est dans les choux ou les roses, alors pas étonnant l’accouchement de la mère à Vénus !), plutôt « La Force » me permettant de ne pas user de la lettre dont je ne veux pas abuser. Le « Bal des Lazes », morceau de bravoure fut également et superbement sur le plateau d’opéra…D’apéro pardon. Seul et blanc vêtu, le type nous a –déjà – flanqué la peau qu’ont les poulets après être flambés et déplumés, légèrement granuleuse comme celle qu’on se chope lors d’orgasmes de tout genre.
Est-ce recommandé de rappeler le programme de cette fête ? Certes on le peut, cependant Décamps papa en personne m’a demandé des rester dans le flou pour préserver l’étonnant de la découverte pour ceux n’étant pas là durant ces deux dates ; mystère et boule de gomme tout et tous seront protégés durant le départ et l’épopée hexagonale de la nouvelle tournée. Bon je tente le subterfuge sans détournement de majeur ; pour les pressés et nerveux ne supportant pas le mystère, je propose, ou plutôt je leur suggère d’aller sur le W.E.B pour y trouver la réponse à leur recherche. J’atteste que vous trouverez une adresse « https// : » encore valable, bon, vous n’avez pas à demander le renfort de ma personne pour surfer. Par contre ceux présents les 31/01 et 01/02 au 80 boulevard de Rochechouart, on que dalle à attendre d’une telle recherche, ayant tout vu, tout entendu comme le Quercus Robur de « 89 » et les autres (plus marquant que le Temps) sont assez grands pour garder ou déceler le mystère sur les morceaux pouvant -éventuellement- être joués lors de la tournée 2020-2021 ; de toute façon lors de cette tournée le programme de ces deux dates mémorables ne pourra être joué totalement.
A part les membres actuels de ANGE, quels matelots et quelles matelotes du bateau nous ont régalés de leur présence en cette nocturne de Satan ?
D’abord, d’abord…Les mâles du tout début du commencement : le frère du « Père » F.Décamps et l’Hass de la basse. Brézovar souffrant, a été excusé de son absence par le leader du groupe (leader par son âge…). Pas de Gérard Jelsch…C’est comme ça et pas autrement. Furent là en personne et en os, Jean-Claude le batteur de 1982 à 1986 (Comme son nom, un rude tapage !), Serge Cuenot à la gratte de 1982 à 1987 (et 1990) et Laurent.S à la basse de 1982 à 1987, c’est clos pour les années 80. Pour les 90 F.Bony et H.Rouyer, mousse et batteur sur le cargo jusqu’au début des années 2000. C’est dans ces temps là, qu’une matelote monta sur le «pas que beau bateau » (également tenace…), c’est Caro Crozat (Kaharo en solo) et je peux proclamer qu’elle n’y frotta pas les hublots, sans se ménager elle déménagea hard. Caro fut donc sur scène au 80 du bd en ce 31/01, pour évoquer la majestueuse époque allant de « La femme coupée en deux » à « Souffleurs de Vers » en passant par « les monts roses ». En 2010, au cours de la tournée de la « 40ème » elle fut la der à prendre une chaloupe de la nef pour voguer, seules, vers d’autres ports. Elle me l’a raconté après son départ du paquebot, lorsqu’ensemble nous sommes allés écouter le Groupe, Caro reste fortement attaché à son ancre et son encre.
Pour vous permettre de jeter les yeux dans nos arcanes et sans déroger aux secrets de la correspondance, car dans les propos qu’elle me «textota » le 6/02 de l’Après, nada ne peut porter dommage à son honneur, même cela est un plus pour la Dame d’Ange ; ces mots :

«Yes ! Quel bonheur de retrouver tout ANGE (fans et fanas/ angelots de tous les temps/experts du dépôt et de l’arrangement du matos sur la scène/ staff / genèse des mots et des notes/ bouleversements neuronaux).
Ce fut énorme comme secousse nerveuse, c’est là que mon affect fut constaté sauvé et réchappé par mon ego. Superbe.
La pochette avec cadeau fut le frère du Père. Car, c’est sur le tas, sur le coup, que le frère du frère du Père m’a déclaré : « tu vas jouer « Fou » avec le frérot ». Ce fut un bouleversement de programme fou ! Notre duo a dû composer avec cette annonce déroutante d’autant que ce fut pour l’un et l’autre notre 1ère rencontre ; d’abord nous nous sommes présentés et après nous avons bossé au max de nos compétences mutuelles. Bon, le courant passa fort agréablement et remarquablement et nous avons composé dans un respect mutuel pour un résultat à la hauteur de l’évènement, je pense.
Le texte de ma correspondance – La Lettre -fut également en accord avec le décor et le « Crever d’Amour » avec le neveu de mon acolyte de « Fou » fut chanté dans un ébranlement des sens respectueux du morceau. « C’est sans O.G.M qu’elles « z’M » les hommes…. » ! J’adore ce morceau très à la page et vachement rock.
Et le terme du show ! Un foot de chez foot pour employer la langue de Shakespeare !!!
Et les gens là, présents, dedans, des tueurs !!! Ces tueurs sont hors du commun et pourtant mortels. Braves, chaleureux, fervent, en 4 mots : « Fous et tellement doux  » ! C’est cool »
Le DVD capté durant ces deux concerts est encore attendu. Les remous dus à la présence de ce Corona mortel sur la planète retardent un peu son achèvement. Bon, tout débarque à temps après le temps perturbé. Des séquences sauvages tournées durant ces beaux moments, courent sur le W.E.B et nombre d’entre nous avons déjà pu en les lorgnant retourner dans le futur d’un passé proche.
Un des grands étonnements, le show du marmot du Père dans « ouvre tes yeux » ! Ce morceau me serre tant le cœur que je n’ose frapper toutes ses lettres de noblesse ; l’on crut jusqu’à ce 31/ 01 au fondamental du drame, de la trame bouleversante de ce morceau chanté par le Papa du marmot, on eu tort et le tort tue ; c’est le moment de le clamer pour ce joyau de l’opus Guet-Apens, le gosse a assuré grave de grave. Sûr, avec le jeune Décamps , c’est autre, cependant c’est mêmement fort dans la secousse nerveuse. Sacrée Décamps (et Laheurte). Attendons et tendons les esgourdes, Django (môme du gosse du Père), peut-être…Peut-être !? (Quelle Race !).
Des gars et des nanas de la Creuse, en chœur et en son, a capella, c’est « Chœur de Chauffe » et ces belles personnes ont dépucelé un morceau de l’opus « Au-delà… » (« Les longues… », vous savez ça par cœur…), de ses notes du solfège en gardant juste la portée de leurs cordes vocales et ces cordes tremblèrent avec une justesse sans cassure. Beau moment.
Au cas où, vous trouverez ce Chœur sur Youtube, z’avez qu’à chercher (je vous propose tout de même une adresse « https » où vous verrez et entendrez ces gens de Guéret ou d’une autre commune de ce beau département qu’est de la Creuse) chanter, sans organe autre que leur texture vocale, un morceau du 1er 33 tours de ANGE dont je pense que vous en donner le nom est vexant, donc je m’empêche.

https://www.youtube.com/watch?v=wPbTsJ_rNU .
(Prenez garde, cette adresse est peut-être défectueuse, avec le net la sûreté ne l’est pas, vous savez à une lettre près, l’adresse est fausse et le facteur n’y peut pas grand chose…).
Ardu est de raconter 50 années de présence d’Ange, assurer ne pas omettre quelques manques et commettre quelques erreurs, forte est la personne persuadée de ça. Alors lorsque l’on ne peut compter que sur 3 malheureuse heures pour gagner ce challenge, c’est un « challAnge » (ce jeu de mot est là pour comblé le jeu manqué avec 50 ans de V.d’Ange). Chacun regrettera peut-être tel ou tel morceau. Dans l’ensemble les jalons majeurs de cette traversée sonore éclatante de 50 ans furent justement dosés et plantés là sur le pont du cargo sans amertume, souvent blessé et pourtant encore là, voguant, tanguant, contre vents et marées de la mode et pas près de sombrer. « Frère Jacques » de « l’Hymne » achevé, tout notre beau monde se barre vers le foyer déjà bondé et près à craquer (d’amour). Un mètre sera l’écart le plus large séparant les personnes présentes, on se serre pour garder la chaleur des moments de bonheur déjà achevés ; en ce foyer chaleureux, je retrouve Pascal, l’amoureux consacré de Caro, et sans perdre une seconde je m’efforce pour me frayer un espace pour toucher à mon but, l’étal tenue par Roger et Madame, tout deux chargés de vendre l’Ange sous toutes ses formes. Je ne pense pas acheter, à part quelques éléphants blancs, comme le 1er opus « rouge » (tournée Johnny) hors commerce, je possède déjà tellement d’objets en rapport à ANGE. Je veux juste saluer convenablement et tendrement Roger et sa dame avant mon départ. Vous prenez ma parole pour ce qu’elle vaut, je vous jure que pour les aborder cela est complexe tant la foule est dense autour du stand. J’entends même, que des cartons de T.S à manches courtes prévus pour la vente au 2ème concert sont entamés tant la demande est forte. C’est cool pour les sous d’U.P.D.L.M et ANGE of course. A côté du stand de ANGE, le jeune frérot Décamps propose la galette toute neuve de sa redécouverte du 2ème opus du groupe, vous savez avec « Ces-Gens là » du Grand Jacques ; « achetez ! Achetez ! Beau monde ! Et plutôt que le demander par la Poste autant le prendre sur place à la source. Sauf que là également ça se bouscule à la table marchande. La douce compagne, venue du pays du Phébus levant, du frérot, assure les demandes et commandes car son compagnon est presque agressé –doucettement- par ses fans, vachement coté le leader des « Gens de la Lune ». Je hèle Yzumy (pas sûr que dans sa langue son prénom prenne des « y », pas grave grecque ou pas la lettre se prononce de la même façon), elle me remémore car nous nous sommes souvent rencontrés. Ça y est je possède la nouvelle « nécropole pour macchabée aux losanges de toutes les couleurs tel le bouffon célèbre de la botte européenne », en plus court « l’opus tout chaud du frérot du Père ». J’attends tout de même pour que ce frérot appose sur la pochette du CD son sceau et quelques mots, l’occase est trop belle. Encore quelques secondes d’attente et hop ! « Entrez ! Entrez ! Beau monde se tropuve dans ma poche ! Je la possède ma nouvelle œuvre d’art pour mon musée consacré aux Anges. Mazette, mes yeux découvrent, de l’autre côté de ce superbe foyer, Caro allant vers les loges. Je peux tout de même la rencontrer et susurrer à ses tympans quelques mots (doux et respectueux). Elle m’embrasse affectueusement (sur les joues, faut pas déconner y’a Pascal !) en se retournant. Je décrypte dans ses yeux les mots qu’elle me transmettra plus tard : tout est top, trop top.
Déjà les gars et la nana de la « sécu » nous font comprendre que l’on ne peut trop s’attarder ; on éjecte avant l’heure. C’est le problème des salles de Lutèce, chez elle, on se barre au « Gallo », c.à.d. tôt. Pour leur patron, le spectateur n’est qu’un payant pas un esthète de l’art. Tête de lard ! Quel changement du tout au tout avec ces salles de la campagne, de la montagne ou des bords de mer où l’on est reçu avec plus de respect et où l’on trouve normal, dans l’ordre des choses, d’accorder un temps de partage entre les « vedettes » et leur fervents supporters. Ça y est, donc, nous sommes à la rue, plutôt sur le boulevard de Rochechouart ; presque car c’est préférable d’être sur ses côtés réservés aux marcheurs pour ne pas être écrasé. Toujours avec mon pote de Baud (Le Chauve) et Pascal (« Anamchara » pas le gars de Caro). Sont ben bons les casse-dalle d’avant concert, cependant, après un tel concert, tant d’affolements se sont passés dans nos ventres encore tout retournés, les cocos (beaux) que nous sommes réclame du gros, un bon resto sur-le-champ (pas Elysée) ! Nous mettons donc le cap « un peu plus à l’ouest », tout comme Tournesol, le « prof » du « Trésor de Rackham le Rouge » (Un pote à Haddock) et nous nous rassemblons avec quelques camarades fans d’Ange dès leur plus tendre enfance en France, en quête d’une gargote ou plutôt d’une taverne (c’est plus de bon goût) ouverte encore à cette heure avancée. Nous trouvons. On nous place au sous-sol où quelques tables peuvent nous contenter, les autres, notamment au rez-de-chaussée sont déjà occupées par ceux et celles que nous avons côtoyé durant le show d’Ange. Nous prolongeons donc la fête entre frères et sœurs de sang. Juré ! De sAnge !
Déjà 1 heure passée (et pas neuf heures).Nous sommes repus et quelque peu las. Cap à l’est, vers l’hôtel tout proche. Nous approchons de l’entrée où le concert a été donné et un groupe marche à notre rencontre. Quelles sont ces gens déambulant à c’t’heure avancée ? Mé-mé-mé-mé (j’en perds mé mots) ! C’est Hassan de Norvège le gratteur d’Ange juste devant nous ! Le « leader » d’Ange (je mets entre crochets car le Père ne veut pas qu’on le nomme comme ça) est là également, le batteur re z’égalment…Accolades et congratulanges joyeux…(Bon, d’accord :congratulargement). «  Allez hop au dodo les angelots, ce jour – 24 heures a déjà sonné largement – vous remettez le couvert ». Et nous allons vers nos paddocks tels des chevaux -aux sabots d’argent- fourbus, tout contents que cet rencontre non programmée achève une superbe journée nocturne.
La S.N.C.F a programmé notre retour à 13 h en gare Montparnasse. Nous avons largement le temps, donc, de nous taper la cloche pas en chocolat, plutôt, café, bred beurré, compote (et le reste d’à propos) et retrouver le métro à « Barbès-Rochechouart ». Je retrouve à son approche le décor du drame de Marcel Carné (1946) sur une bande sonore de Kosma Joseph et une trame à la Jacques Prévert ; D’après les racontars Marcel à reformé en chambre de tournage la bouche de métro « Barbès-Rochechouart » presque totalement. Rendus à Montparnasse, mon « Chauve » de pote est au jus de mon projet fomenté. Lors de la rencontre des fans (d’Ange !) à St-Bresson les 7 et 8/06/2014, le « Père » nous a conté l’aventure de la pochette du second 33 tours du groupe (conte macabre). Ce conte est évoqué dans le récent ouvrage de Jean-Noël COGHE et Ch.Décamps, un résumé de 50 ans de scène avec anecdotes et aventures en tous genres. Une maquette d’un conglomérat de sépultures, en verre ou en sucre fondu et allongé (comme les macchabées de la zone), tel est l’espérance du « Père » en 1973 pour le cœur de la double pochette de ce second opus. Éconocroques avant toute chose, c’est donc une photo d’un ange soufflant dans la trompette du jugement de la der de der que l’on peut contempler en ouvrant la pochette en cause. Je me remémore que cet angelot trompétant se trouve, d’après le père Décamps , dans la zone sépulcrale, toute proche de la tour, où Jean-Paul Sartre (entre autres célèbres...) reposent éternellement , à quatre pas de la demeure d’un jeune homme de bonne tenue comme l’a chanté Georges Brassens dans sa « Ballade » sur ce genre de zone macabre. Belle occase de vous proposer cet ange 2020, souffleur de trompette (et de vers…) en le retrouvant dans le dédale jonché de tombes et de gamelles à chats. Un doute m’est venu en parcourant l’ouvrange de J.N et Ch et en reluquant l’anecdote relatée par le Père dans laquelle en « dèf » est évoqué l’autre grand monument aux morts (également « Père » et confesseur de sa majesté 14ème) en XXème séquence de Paname et où repose tant de personnes connues, notamment le chanteur des « Doors » pour rester dans la note et le ton du sujet. Dans le doute, nous y allons tout de même bras dessus et panards en dessous. La photo sauvegardée des pages de l’album concerné, grand ouvert, dans mon téléphone nous conforta pour un éventuel succès au bout de notre recherche.
Je me rends donc au bureau, un conservateur de sépultures très sympa se préoccupe de ma quête en s’efforçant de trouver, dans cet enchevêtrement tombal, la demeure éternelle où vole cet « ange trompette ». Sur le plan du funèbre parc à cadavres, le type (toujours sympa) me montre l’emplacement le plus favorable à mes chances d’y trouver notre ange sur un des monuments de la camarde. Nous partons, avec mon pote glabre du crâne, donc, vers ce parterre avec une folle espérance d’y trouver le but de notre quête, l’ange à la trompette de la mort. Pour l’ange : chou blanc ! Cependant nous avons repéré des sépultures de gens célèbres. Nombreux sont les gens mémorables en repos éternel aux côtés de la Tour la plus haute de Paname en ses murs. Au cas où vous voulez tout leurs noms, z’avez qu’à appeler Mr.Gougueule.
Je me rappelle de la tombe de la nana à Sartre, de celle de Maryse.B sans son aéroplane, de la gonzesse (revenu de l’enfer des camps SS) ayant offert au genre femelle la préférence de crever ou pas le ballon dans leur ventre, en toute douceur, pour élever que l’enfant voulu et accepté, un peu comme le gosse de la chanson de ANGE « et B. creva le ballon…), du Prof.Choron et du créateur d’Arsène « le plus grand des voleurs et pourtant gentleman » d’après Jacques Dutronc. Et justement, nous voyant remarquer sa tombe, un gars d’un âge avancé, s’est approché de nous et nous a raconté quelques-unes de ses souvenances de cet auteur, ayant connu son proche entourage. Pas d’ange à trompette, cependant, une belle rencontre.
A une autre occase, nous arpenterons les allées funestes, de l’autre grande demeure des morts de Paname, étalée entre la rue des Rondeaux à l’ouest et la rue du Repos à l’ouest et traînerons de nouveau, plus en profondeur, dans celle où est enterré Madame G.Freund – très grande photographe – et Gustave Toulasse un connu pas célèbre. L’heure est venue de regagner la gare. C’est le bazar dans le secteur de Montparnasse totalement en travaux, nous louvoyons entre les clôtures, les planches et les tôles. Ce secteur ne m’est pas étranger, mon papa y ayant vécu pas mal d’années.
Et nous…La la la, non pas sur la Grand-Place (Pas de tonnelle de square où l’on joue Mozart, pas de Léon non plus même pas hasard.), nous sommes là là là dans le grand-hall de la gare d’où partent les locos et leurs wagons vers l’ouest de la France. Paname étant un gros bourg, on retrouve Pascal « l’Anam » -plus en avant sur ce sujet l’Anam l’atteste- et les Geffroy du 44 (Raymond et Adé) .Cette gare est encore truffée de fans d’Ange ! On est partout. Un casse-croûte et en wagon : da guer ! (« At home » en langue de Shakespeare). Nous débarquons à Auray, le temps de charger nos sacs dans mon carrosse, nous prenons la route de Baud. Chez le camarade au crâne nu, un bon goûter nous attend. Je remets le cap plus à l’ouest. 19 h sonnent à notre pendule en ce 01/02/2020 dans notre demeure. Quand j’y pense, la seconde de « 50 Ange » va commencer sur le boulevard, au 80…[/size]
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Message  Anamchara Mar 26 Mai 2020 - 1:44

La seule Personne dont on à pas parlé a cette Super fêtes des 50 Ans....C'est le Batteur "Jean Pierre Guichard",c'est un peu dommage,car il est resté un Petit Moment...!

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Message  Mandrin3 Mar 26 Mai 2020 - 8:54

Lu autre part smile1

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Message  Anamchara Mar 26 Mai 2020 - 9:13

Mandrin3 a écrit:Lu autre part smile1
oui,sur matelot angélique...!

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Message  EGNA Mar 26 Mai 2020 - 21:56

Revue et - surtout - corrigée de ses fotes la prose razz


Comment ça ? Le Couteau Helvète, belle personne  se trouvant au rendez-vous d’Ange donné à ses fans en cette salle de concert de Paname élevée au 80 bd de Rochechouart dans le 18 ème de Lutèce le 31/01/2020 et n’ayant  pas encore raconté, sur le forum ce que sa psyché a vécu et gardé en cage cérébrale de ces mémorables moments ? Cela n’est pas de ses us et coutumes ! 1000 excuses pour le retard de ma lame et ma plume. Déjà 98 jours que mon âme d’Homme a regagné son bout du bout des terres bretonnes où elle pense et que ma muse n’a pas encore amusé les colonnes du forum  -nommé par conven’ange « Roulotte » -(avec mon… Non ! Sa prose. On ne va pas commencer les dérapages, dans ce cas, les modérateurs de la Roulotte sont en mesures accordées par le règlement cyber d’être sévères envers ces vers en forme de prose et de les censurer assurément.

Alors, d’abord, d’abord. Rendez-vous compte ! Dès le 18 fév. 2019, jusqu’au jour « J »  du 31 /01/2020, le regard de ce coupon glacé me donnant l’accès au concert des 50 ans d’ANGE  c’est posé là sur mon ego scrutant de façon obsédante mon personnage, forcé d’être lorgné par mes yeux , sur le tableau en fer forgé d’Honoré B. de la Touffe (le souffleur de vers,  descendant farfelu, né de la pensée du « Père Décamps », du représentant le plus connu des penseurs de la 18 ème ère après Jésus cloué menotte en souffrance  avérée et assurée sur des morceaux de planche agencé par P. Ponce préfet de Judée aux ordres d’un césar pas encore compressé ayant  pour but de récompenser les talents d’acteur, de cameraman ou de metteur en scène, le plus souvent, de rue , pour salles obscures où l‘on entend le ronronnement du projecteur ) en place et en trône près de mon bureau, sans arrêt à cette même place. Donc cette aventure commence par une année d’attente tendue avec mon passeport en poche sur le bureau ( !) pour embarquer dans la nef de mon groupe rock « made en french » préféré  et y fêter les 50 ans de sa présence -peu remarquée par la presse, la T.V et la T.S.F - sur l’haut de la scène hexagonal et au-delà sans se noyer dans celle du fleuve de Lutèce et ses arènes dans lesquelles cette « rock-band » a donné à l’époque une messe pour les non-croyants  en elle, prouvant leur tort plus de 50 automnes après . Au centre culturel (entre autres) de Belfort, cette nef vogua dans les eaux tourmentées des aventures d’un va-t-en-guerre, l’épopée d’un Général dont le nom exact m’échappe, un truc genre « Truc ». 50 ans exactement après ses débuts fracassants, le cargo sans blessure à l’avant et son  commandant 1er de pontée ont jugé bon de jeter l’ancre dans un autre port, au 80, boulevard Rochechouart, dans le 18ème de Paname. Déjà au courant car au jus, ce ne fut pas un scoop pour nous : les angelots actuels seront épaulés par quelques loups de mer déjà âgés, toujours loufoques d’Ange et rompus au lavage du pont de ce long cargo (sans amertume) au cours de ses tours du monde.

Le mystère resta complet et les thèses non argumentées pour la plupart eurent bon être supputées dans les têtes de fans tombés dans le tonneau d’Ange tout jeunots : quel mélomane maestro, joueur d’organes  à notes, de toutes sortes, d’entre les nombreux embarqués sur le paquebot de Franche-Comté sera réellement là et jouera comme à la belle époque -toujours « d’actu »- du groupe ? Que deux gratteux déjà à l’Éden ne se présentent pas, personne n’en fut étonné,  Chouchou et Roby furent là dans nos cœurs durant tout le spectacle. Ayant avant tout le monde (beau) quelques tuyaux sur le nom des présents, ma langue resta nouée, ayant jurée (juré !) sans expectorer, restons correct, pour ne pas cracher les morceaux et souffler mots sur les patronymes des hôtes connus que par mon auguste personne.
Pour la seconde époque, ces commensaux à l’agape furent peu représentés : Hervé Rouyer et « Caro » la Crozat (Ah Ah Aya !), plus Jean-Pascal Boffo en étendant l’Ange au « Père » et à son rejeton, un duo top. Par contre pour l’avant « 95 », le contenu du chapeau de la tombola est une pléthore de renoms ; lequel monta, lesquels montèrent sur scène à l’heure « H » ? Vous le saurez plus tard. Quand au programme de la fête, les morceaux de l’ANGE sont en tel nombre comment voulez-vous  subodorer, présager, lesquelles seront joués et chantés durant le gala et son show ! Une chose sûre, les adorateurs que nous sommes entonneront encore les heureux élus en chœur tard sur le boulevard de Rochechouart. Compte tenu de la nature de l’événement, on eut pu s’attendre à une remontée temporelle des chansons du groupe, du « Père », de son frère, du neveu de ce frérot et du reste de la bande aux Décamps et au Brézovar (Gratteux de la genèse et de la jeunesse d’Ange); un peu comme le concert des 60 étés de Chr…Du « Père » dans une salle près Bergerac le 11 août 2006 ou le programme de la tournée hurlante de la « 40 ème » dont le départ – top -  fut donné en 2010 en l’Olympe salle de la commune où EGNA (Un ange !) a vu le jour en 1954.
L’Ode au plus grand des maréchaux-ferrants de Saulnot en 70 (près Vesoul), l’humble âgé de tous les âges fut non contournable et pas contournée tout comme de grands morceaux de bravoure – sans être d’Aznavour – forts probables comme Ces Gens-là, comme le morceau ou « plus d’un goéland vole ton âme » en hommage à la plus belle des œuvres du hasard céleste, comme également le fameux morceau ou le loup de mer sans âge, cocu et alcoolo jusqu’au os perd complètement la boussole et comme (ouf...) la chanson sur le Bossu de Notre-Dame de Paname. Et comme (encore !) la seconde époque possède également ses trésors -cela tombe au top car le « Père » a du coffre- de la Bagnole à eau à Heureux, la troupe n’a pu les passer outre même au-delà de leur renommée. Un jour quand on me demandera de répondre à l’enquête sur l’ANGE (personnel), son comment, sa cause et ses conséquences, dans le Plouc (mag), le Marc sera vachement dans l’embarras et le caca (phone), opter pour tel ou tel autre morceau à réécouter et entendre de nouveau en concert ? Qu’est-ce que cela sera hard, very hard et good also ; tant de valeurs sûres y’a ; Aya aya aya  Ah ! Ah !
 


Je sus avec soulagement, aux alentours de début août, que la bonne vente des places du 31/01 eut pour conséquence de doubler l’événement par un second concert dès je jour d’après, le 01/02. Les gens doucement fous d’Ange sont toujours au rendez-vous, malgré le peu de pub et la retenue plus que réservée exercés par les journaux, la T.S.F et les TV du pays, en regard –aveuglé- du progrès culturel constant et  monumental apporté  à la planète par ces rockers de tous les temps.
30 et 1, du 01/2020 dès potron-jaquet, 8h 15 à ma montre, mon humble bagage (pas d’Elven) est prêt. Je lorgne mon carton me permettant l’entrée sans encombre pour le concert, tout est en ordre dessus, j’observe également la paperasse pour réserver l’hôtel…Tout est paré pour Par…Paname.
Cap sur la gare d’Auray où je retrouve mon pote, le chauve dont la tête est sur les épaules alors qu’elle, vu son prénom à mon camarade , prénom emprunté à son vénérable ancêtre, actuellement du « 9 » « 3 » en tant que sous-préfecture du département, dans les années onze cents, eut pu être (peut-être : quelle race) cette caboche, sous son bras le temps de redescendre de « Montfaucon », le célèbre Mont de Lutèce où les tronches tranchent et tombent encore de peur de nos jours pour le bonhomme passant près le parlement du P.C, place du colonel...Nous attrapons la rame en gare à 10 h 07 ; normalement nous serons à Montparnasse – encore un mont , où Apollon, le perpétuel, s’amuse avec les neuf – à 13 h 04.
Heureux présage, le métro roule normalement et nous n’avons pas à effectuer sur nos petons, la traversée de Paname, comme les deux compères Jean et André lors du tournage de
(https://www.youtube.com/watch?v=XynTJR_Amoc).
Nous logerons à l’hôtel portant le nom de la préfecture de l’Hérault, à 120 m de la salle où ANGE et ses poteaux (camarades bossant pour E.D.F) se donneront en spectacle plus tard, Ô ! Beaucoup plus ! Notre chambre n’est pas luxueuse, le luxe n’est pas ce que nous sommes venu chercher et nous attendons autre chose avant de nous mettre au plumard, plus tard ! Ô ! Beaucoup plus ! Donc un tel l’hôtel, c’est OK ! D’autant que le type l’entretenant, nous susurre  que toutes les chambrées sont occupées par des « tarés de l’ANGE ». La bande des Hells Angels, fans de « Moteur » a et va (Plus tard ! Ô !...) effrayer les alentours d’Anvers et sa bouche de métro. Nous partons pour les repérer, les alentours pas les Hells et non plus les Angels. La salle de concert ne m’est pas étrangère car le 20/02/2016 une date de la tournée « E.Jacotey » y fut programmée. Je comprends tout d’un coup que cette salle jouxte presque celle de l’Elysée-Montmartre à laquelle s’attache une fabuleuse souvenance. En ce 5 novembre 1992 j’y fus pour me délecter du concert d’E.L.P (Emerson Lake and Palmer) lors de leur tournée « Black Moon ». Sur ce bout du boulevard de Rochechouart nous rencontrons un compère Breton en la personne de Pascal « Anamchara » (son pseudo sur la Roulotte) très connu et vénéré sur ce forum où je rends compte. 16 heures approchant nous avons le temps de flâner et de jouer les voyageurs découvreurs. Cap au nord tout en restant en-dessous du cercle, vers ce monumental cœur globuleux que l’on soupçonne d’être sacré en tant que temple. Pour l’approcher jusqu’à le toucher, les marches à escalader sont dures surtout pour les pauvres malheureux ne mangeant pas assez pour un muscle adapté à ce genre d’effort, une chanson fredonnée  par « la Dame blanche de S.G des Près » ; cette dame en a parlé et en parle encore pour ceux voulant l’écouter : « Les marches de la Butte sont dures aux malheureux….La la la la » (les paroles ne sont peut-être pas exactes car elles datent tout comme mes souvenances en partance…).
Rendus tout en haut de ces marches, notre effort est récompensé par une vue globale sur les demeures aux couvertures très hétérogènes de la plus grande commune de France et d’après pas mal de personnes la plus belle du monde. D’entre les promeneurs, des personnes, venues assurément du Japon où d’une de ces contrées où les yeux on un caractère propres aux autochtones, légèrement fuyant vers les esgourdes, portent des masques bucco-nasaux pour se défendre de toute attaque d’agents pathogènes, où peut-être que ces gens là, redoutent probablement la désagréable renommée de l’éther dans lequel trempe la mégalopole formée autour de la Cathédrale de Notre-Dame. Ce fut qu’après cette époque que je sus la présence en France de l’agent pathogène en forme de couronne, né à Wuhan (mégamégalopole de l’état fondé par Mao Tsé-toung (Zedong)  plus grande encore que celle de Paname). On repère les tours de la Cathédrale Notre-Dame encore blessée par l’épreuve du feu tout juste étouffé, celles d’un temple (non protestant) que beaucoup de personnes ont découvert grâce au roman de Dan Brown sur le graal sacré, le Panthéon, la Tour de Jacques le Majeur et les tubulures colorées de Beaubourg dont les tuyaux , dont un très long de 320 m, n’ont nullement transporté de substances en vue de les rendre épurées et ne se doutent même pas de l’odeur que peut dégager et des dommages que peut engendrer le pétrole brut. Ok, nous ne voyons pas le Centre « Georges Pompe nos sous » d’un angle permettant d’appréhender l’ensemble de ses très controversés tuyaux.
Cependant nous les savons accolés autour du Centre près de l’horloge du même nom – Beaubourg - où le dragon est terrassé,  blâmée sera la personne mal-pensante sur ces tubes colorés. Étant devant et Anam la découvrant, nous entrons résolus dans la célèbre demeure cultuelle de la Butte symbole du rachat des péchés de ces sauvages révoltés de la Commune en 1871, des monstres que ces rebelles adeptes du « power people communale » refusant tout retour de tête couronnée ! Lors de notre entrée en la blanche demeure du « Suprême » une messe est en cours. Nous empruntons  - chut !- les bas-côtés et le passage des allées et venues des dévots. Qu’on y adhère ou pas la contexture est époustouflante ; surtout les agencements de ces éclats de marbre colorés, de réels tableaux représentant des scènes dévotes telles ce J.C.M.E.C.V  (référence au mémorandum A.N.G.E de 1994 pour ne pas désapprendre).
Après nous nous évacuâmes  de la vedette de la Butte pour nous rendre au bourg de Montmartre et en retrouver une autre : la place du Tertre.
A cette heure, les faux Van Gogh, Manet et Monet, les faux Umbdenstock, les découpeurs d’ombres, jonchent ce tertre, ce mamelon de butte. Nos pas en foulant les rues de cette bourgade bouffée par la grande métropole nous amènent sur une vue plongeante vers des catacombes où repose l’ancêtre des poulbots couchés sur les tableaux. A la bouche de métro avant celle nommée « Blanche », cap à l’est, par le boulevard  (mêmement nommé que la bouche d’avant la « Blanche ») au bout duquel nous trouvons quelques paroles de la chanson d’Ulmer Georges fredonnées par ses « Compagnons de la Chanson» : « perchée aux flancs de Paname… ». Là, racolent les dames. Retour boulevard de Rose de Rochechouart (Rose n’est pas son prénom…Bon, ce n’est pas grave, elle me fera une fleur pour cette erreur) et à la salle où va se dérouler la fête, nous retrouvons des têtes connues. Les camarades adhérents à U.P.D.L.M sont là pour la bonne cause et sans banderole. Le temps de croquer un casse-croûte et nous retournons dans la queue à la queue leu, ce membre à part s’est sacrément allongé alors que nous ne nous sommes absentés que peu de temps. Nos membres prennent  place dedans le majeur presque à l’entrée de l’autre salle d’à côté l’Elysée-Montmartre. Le bus de tournage avec son staff et ses caméras est garé là pour garder la trace du show nocturne au plus grand bonheur de nos sens au futur. Avec Ulule (plate-forme du net de don pour projet), nous avons été nombreux à donner pour lorgner plus tard ces noces d’or d’avec nos angelots de tous les temps et même tout contretemps, 50 ans ça compte dans le développement de l’Embryon que nous avons tous été et nous sommes contents d’Ululer ensemble.  En attendant l’ouverture des portes on bavasse  avec les gens là à côté de nous, nos « autres ». La dame à mon côté gauche, qu’à le même blase que la nana du Jeannot dans la B.D de Tabary (Jean), est fana du chanteur de « Let’s dance » dont the last opus « Black Star » fut et est black de chez black et mouvant. Les ardeurs de solfège sont belles parce que généralement, comme les « tales of love », elles sont douces et franches même que souvent elles cessent mal en général ; ce n’est pas le cas avec l’ANGE, la preuve, 50 ans que cela dure !
Chacun et une a beaucoup à raconter et l’on ne s’est pas aperçu que la queue s’écourte et avance sans reculer…Hum.
A l’entrée, « l’Amande au Père » en personne  me tend un sac en jute « 50 Ange » contenant une photo du groupe, un beau porte-clefs et un stylo haut en couleurs de l’événement. Un « smack » en sus et sans masque (pas 100 masques !!!). Le Corona méchant (encore menaçant au moment où je tape, lettre à lettre, ces mots sur mon portable) est su sans être avéré et rencontré dans nos contrées.
Les fous d’Ange de l’ouest y sont déjà et se retrouvent à l’orchestre sans jouer sur scène. Ces vénérables personnages et personnes d’âge vénérable vont s’efforcer de rester rectos dans leurs bottes pendant tout le concert, leurs godasses ont déjà arpentés les pavés du 18 ème (souvent en pente ascendante et forcément descendante ) et après se sont plantées dans la queue d’attente, ce n’est pas gagné, cela susurré, le panard attendu, même debout de bout en bout jusqu’au bout de la « noche », par ces fous, tout doux, tout doux, vaut largement l’engagement et les efforts !
Oh ! Au balcon c’est l’Umbdenstock le 7ème Ange ! Déjà 10 h et j’me balance d’une patte sur l’autre. Le début va commencer (cela ressemble à un pléonasme).
 
Un gars tout en blanc déboule sur scène. Ça me rappelle le D-Day d’Harfleur, le 16/05/2015. C’est ça ! C’est le même type ! Justement, comme par hasard, son papa l’appelle au téléphone. On se prend un apéro avec un morceau du « Jouet » opus  du plus jeune des  Décamps après Django son rejeton gagnant. N’ayant pas tout noté, s’en en être sûr je pense que l’homme en blanc nous a offert la chanson nommée « Sérénade », elle nous cause du Sandro né à Florence -celle du pays de la Rome de Rémus et Romulus- en 1145 et décédé en cette même Florence en 1510 , cet exécuteur et présentateur  -pas du journal de 20 h- de fresques en couleurs concoctées à la brosse et autres moyens permettant l’étalement des gouaches et substances grasses pour tableaux tels, certes pas son plus célèbre et plus connu au Sandro, comme « La Vénus venue au monde dans un mollusque » (bah ! Y’en a c’est dans les choux ou les roses, alors pas étonnant l’accouchement de la mère à Vénus !), plutôt « La Force » me permettant de ne pas user de la lettre dont je ne veux pas abuser. Le « Bal des Lazes », morceau de bravoure fut également  et superbement  présenté sur le plateau d’opéra…D’apéro pardon. Seul et blanc vêtu, le type nous a –déjà – flanqué  la peau qu’ont les poulets après être flambés et déplumés, légèrement granuleuse comme celle qu’on se chope lors d’orgasmes de tous genres.
Est-ce recommandé de rappeler le programme de cette fête ? Certes on le peut, cependant Papa Décamps  en personne m’a demandé de rester dans le flou pour préserver le côté étonnant de la découverte pour ceux n’étant pas là durant ces deux dates ;  mystère et boule de gomme ! Tout et tous seront protégés durant le départ et l’épopée hexagonale de la nouvelle tournée. Bon je tente le subterfuge sans détournement de majeur ; pour les pressés et nerveux ne supportant pas le mystère, je propose, ou plutôt je leur suggère d’aller sur le W.E.B pour y trouver la réponse à leur recherche. J’atteste que vous trouverez une adresse « https// : » encore valable, bon, vous n’avez pas à demander le renfort de ma personne pour surfer. Par contre ceux présents les 31/01 et 01/02 au 80 boulevard de Rochechouart, on que dalle à attendre d’une telle recherche, ayant tout vu, tout entendu comme le Quercus Robur de « 89 » et les autres (plus marquant que le Temps) sont assez grands pour garder ou déceler le mystère sur les morceaux pouvant -éventuellement- être joués lors de la tournée 2020-2021 ; de toute façon lors de cette tournée le programme de ces deux dates mémorables ne pourra être joué totalement.
A part les membres actuels de ANGE, quels matelots et quelles matelotes du bateau  nous ont régalés de leur présence en cette nocturne de Satan ?
D’abord, d’abord…Les mâles du tout début du commencement : le frère du « Père » F.Décamps et l’Hass de la basse. Brézovar souffrant, a été excusé de son absence  par le leader du groupe (leader par son âge…). Pas de Gérard Jelsch…C’est comme ça et pas autrement. Furent là en personne et en os, Jean-Claude le batteur de 1982 à 1986 (Comme son nom, un rude tapage !), Serge Cuenot à la gratte de 1982 à 1987 (et 1990) et Laurent.S  à la basse de 1982 à 1987, c’est clos pour les années 80. Pour les 90 F.Bony et H.Rouyer, mousse et batteur sur le cargo jusqu’au début des années 2000. C’est dans ces temps là, qu’une matelote monta sur le «pas que beau bateau » (également tenace…), c’est Caro Crozat (Kaharo en solo) et je peux proclamer qu’elle n’y frotta pas les hublots, sans se ménager elle déménagea hard. Caro fut donc sur scène au 80 du bd en ce 31/01, pour évoquer la majestueuse époque allant de « La femme coupée en deux » à « Souffleurs de Vers » en passant par « les monts roses » ou « Monts à lolo sans O.G.M ». En 2010, au cours de la tournée de la « 40ème »  elle fut la der à s’emparer d’une chaloupe de la nef pour voguer, seule, vers d’autres ports. Elle me l’a raconté après son départ du paquebot, lorsqu’ensemble nous sommes allés écouter le Groupe, Caro reste fortement attachée à son ancre et son encre.
Pour vous permettre de jeter les yeux dans nos arcanes et sans déroger aux secrets de la correspondance, car dans les propos qu’elle me «textota » le 6/02 de l’Après, nada ne peut porter dommage à son honneur, même cela est un plus pour la Dame d’Ange ; ces mots :

« Yes ! Quel bonheur de retrouver tout ANGE (fans et fanas/ angelots de tous les temps/experts du dépôt et de l’arrangement du matos sur la scène/ staff / genèse des mots et des notes/ bouleversements neuronaux).

Ce fut énorme comme secousse nerveuse, c’est là que mon affect fut constaté sauvé et réchappé par mon ego. Superbe.
La pochette avec cadeau fut le frère du Père. Car, c’est sur le tas, sur le coup, que le frère du frère du Père m’a déclaré : « tu vas jouer « Fou » avec le frérot ». Ce fut un bouleversement de programme fou ! Notre duo a dû composer avec cette annonce déroutante d’autant que ce fut  pour l’un et l’autre notre 1ère rencontre ; d’abord nous nous sommes présentés  et après nous avons bossé au max de nos compétences mutuelles. Bon, le courant passa fort agréablement et remarquablement et nous avons composé dans un respect mutuel pour un résultat à la hauteur de l’évènement, je pense.
Le texte de ma correspondance – La Lettre -fut également en accord avec le décor et le « Crever d’Amour » avec le neveu de mon acolyte de « Fou » fut chanté dans un ébranlement des sens respectueux du morceau. « C’est sans O.G.M qu’elles « z’M » les hommes…. » ! J’adore ce morceau très à la page et vachement rock.
Et le terme du show ! Un foot de chez foot pour employer la langue de Shakespeare !!!
Et les gens là, présents, dedans, des tueurs !!! Ces tueurs sont hors du commun et pourtant mortels.  Braves, chaleureux, fervents, en 4 mots : « Fous et tellement doux  » ! C’est cool »
Le DVD capté durant ces deux concerts est encore attendu. Les remous dus à la présence de ce Corona mortel sur la planète retardent un peu son achèvement. Bon, tout débarque à temps après le temps perturbé. Des séquences sauvages tournées durant ces beaux moments, courent sur le W.E.B et nombre d’entre nous avons déjà pu en les lorgnant retourner dans le futur d’un passé proche.
Un des grands étonnements, le show du marmot du Père dans « ouvre tes yeux » ! Ce morceau me serre tant le cœur que je n’ose frapper toutes ses lettres de noblesse ; l’on crut jusqu’à ce 31/ 01 au fondamental du drame, de la trame bouleversante de ce morceau chanté par le Papa du marmot, on eu tort et le tort tue ; c’est le moment de le clamer pour ce joyau de l’opus Guet-Apens, le gosse a assuré grave de grave (en rappelant que « grave » en langue d’outre-manche = tombe en langue de chez-nous).  Sûr, avec le jeune Décamps , c’est autre, cependant c’est mêmement fort dans la secousse nerveuse. Sacrés Décamps (et Laheurte). Attendons et tendons les esgourdes, Django (môme du gosse du Père), peut-être…Peut-être !? (Quelle Race !).
Des gars et des nanas de la Creuse, en chœur et en son, a capella, c’est « Chœur de Chauffe » et ces belles personnes ont dépucelé un morceau de l’opus « Au-delà… » (« Les longues… »  Vous savez ça par cœur…), de ses notes du solfège en gardant seulement (solement…) la portée de leurs cordes vocales et ces cordes tremblèrent avec une justesse sans cassure. Beau moment.

Au cas où, vous trouverez ce Chœur sur Youtube, z’avez qu’à chercher (je vous propose tout de même une adresse « https » où vous verrez et entendrez ces gens de Guéret ou d’une autre commune de ce beau département qu’est la Creuse,  chanter, sans organe autre que leur texture vocale, un morceau du 1er 33 tours de ANGE dont je pense que vous en donner le nom est vexant, donc je m’empêche.

https://www.youtube.com/watch?v=wPbTsJ_rNU .
 
(Prenez garde, cette adresse est peut-être défectueuse, avec le net la sûreté ne l’est pas, vous savez à une lettre près, l’adresse est fausse et le facteur n’y peut pas grand chose…).
Ardu est de raconter 50 années de présence d’Ange, assurer ne pas omettre quelques manques et commettre quelques erreurs, forte est la personne persuadée de ça. Alors lorsque l’on ne peut compter que sur 3 malheureuses heures pour gagner ce challenge, c’est un « chall’Ange » (ce jeu de mot est là pour combler et compenser le jeu manqué avec 50 ans de V.d’Ange). Chacun regrettera peut-être tel ou tel morceau. Dans l’ensemble les jalons majeurs de cette traversée sonore éclatante de 50 ans furent justement dosés et plantés là sur le pont du cargo sans amertume, souvent blessé et pourtant encore là, voguant, tanguant, contre vents et marées de la mode et pas près de sombrer. « Frère Jacques » de « l’Hymne » achevé, tout notre beau monde se barre vers le foyer déjà bondé et près à craquer (d’amour). Un mètre sera l’écart le plus large séparant les personnes présentes, on se serre pour garder la chaleur des moments de bonheur déjà achevés ; en ce foyer chaleureux, je retrouve Pascal, l’amoureux consacré de Caro, et sans perdre une seconde je m’efforce pour me frayer un espace pour toucher à mon but, l’étal tenue par Roger et Madame, tout deux chargés de vendre l’Ange sous toutes ses formes. Je ne pense pas acheter, à part quelques éléphants blancs, comme le 1er opus « rouge » (tournée Johnny) hors commerce, je possède déjà tellement d’objets en rapport à ANGE. Je veux juste saluer convenablement et tendrement Roger et sa dame avant mon départ. Vous prenez ma parole pour ce qu’elle vaut, je vous jure que pour les aborder cela est complexe tant la foule est dense autour du stand. J’entends même, que des cartons de T.S à manches courtes prévus pour la vente au 2ème concert sont entamés tant la demande est forte. C’est cool pour les sous d’U.P.D.L.M et ANGE of course. A côté du stand de ANGE, le jeune frérot F.Décamps propose la galette toute neuve de sa redécouverte du 2ème opus du groupe, vous savez avec « Ces-Gens là » du Grand Jacques ; achetez ! Achetez ! Beau monde ! Et plutôt que le demander par la Poste ce C.D, autant le prendre sur place à la source. Sauf que là également ça se bouscule à la table marchande. La douce compagne, venue du pays du Phébus levant, du frérot, assure les demandes  et commandes car son compagnon est presque agressé –doucettement- par ses fans, vachement coté le leader des « Gens de la Lune ». Je hèle Yzumy (pas sûr que dans sa langue son prénom prenne des « y », ce n’est pas grave,  grecque ou pas la lettre se prononce de la même façon), elle me remémore car nous nous sommes souvent rencontrés. Ça y est je possède la nouvelle « nécropole pour macchabée aux losanges de toutes les couleurs tel le bouffon célèbre de la botte européenne », en plus court « l’opus tout chaud du frérot du Père ». J’attends tout de même pour que ce frérot appose sur la pochette son sceau et quelques mots, l’occase est trop belle. Encore quelques secondes d’attente et hop ! Le nouveau « Entrez ! Entrez ! Beau monde ! » se trouve dans ma poche ! Je la possède ma nouvelle œuvre d’art pour mon musée consacré aux Anges. Mazette, mes yeux découvrent, de l’autre côté de ce superbe foyer,  Caro allant vers les loges. Je peux tout de même la rencontrer et susurrer à ses tympans quelques mots (doux et respectueux). Elle m’embrasse affectueusement (sur les joues, faut pas déconner y’a Pascal !) en se retournant. Je décrypte dans ses yeux les mots qu’elle me transmettra plus tard : tout est top, trop top.

Déjà les gars et la nana de la « sécu » nous font comprendre que l’on ne peut trop s’attarder ; on éjecte avant l’heure. C’est le problème des salles de Lutèce, chez elles, on se barre au « Gallo », c.à.d. tôt. Pour leur patron, le spectateur n’est qu’un « payant solvable» pas un esthète de l’art. Tête de lard ! Quel changement du tout au tout avec ces salles de la campagne, de la montagne ou des bords de mer et d’océan où l’on est reçu avec plus de respect et où l’on trouve normal, dans l’ordre des choses, d’accorder un temps de partage entre les « vedettes » et leur fervents supporters. Ça y est, donc, nous sommes à la rue, plutôt sur le boulevard de Rochechouart ; presque car c’est préférable d’être sur ses côtés, ces bordures réservées aux marcheurs pour ne pas être écrasé ; éternellement dans la marge nous serons tous ensemble avec mon pote de Baud (Le Chauve) et Pascal (« Anamchara » pas le gars de Caro). Sont ben bons les casse-dalle d’avant concert, cependant, après un tel concert, tant d’affolements se sont passés dans nos ventres encore tout retournés, les cocos (beaux) que nous sommes réclament du gros, un bon resto sur-le-champ (pas Élysée) ! Nous mettons donc le cap « un peu plus à l’ouest », tout comme Tournesol, le « prof » du « Trésor de Rackham le Rouge » (Un pote à Haddock) et nous nous rassemblons avec quelques camarades fans d’Ange dès leur plus tendre enfance en France, en quête d’une gargote ou plutôt d’une taverne (c’est plus de bon goût) ouverte encore à cette heure avancée. Nous trouvons. On nous place au sous-sol où quelques tables peuvent nous contenter, les autres, notamment au rez-de-chaussée sont déjà occupées par ceux et celles que nous avons côtoyés durant le show d’Ange. Nous prolongeons donc la fête entre frères et sœurs de sang. Juré ! De sAnge !
Déjà 1 heure du mat’ passée (et pas neuf heures).Nous sommes repus et quelque peu las. Cap à l’est, vers l’hôtel tout proche. Nous approchons de l’entrée où le concert a été donné et un groupe marche à notre rencontre. Quelles sont ces gens déambulant à c’t’heure avancée ? Mé-mé-mé-mé (j’en perds mé mots) ! C’est Hassan de Norvège le gratteur d’Ange juste devant nous ! Le « leader » d’Ange (je mets entre crochets car le Père ne veut pas qu’on le nomme comme ça) est là également, le batteur re z’égalment…Accolades et congratulanges joyeux… (Bon, d’accord :congratulargement). «  Allez hop au dodo les angelots, ce jour – 24 heures ont déjà sonnées largement – vous remettez le couvert ». Et nous allons vers nos paddocks tels des chevaux -aux sabots d’argent- fourbus, tout contents que cette rencontre non programmée achève une superbe journée en nocturne.
La S.N.C.F a programmé notre retour à 13 h en gare Montparnasse. Nous avons largement le temps, donc, de nous taper la cloche pas en chocolat, plutôt en, café, bred beurré, compote (et le reste d’à propos) et retrouver le métro à « Barbès-Rochechouart ». Je retrouve à son approche le décor du drame  de Marcel Carné (1946) sur une bande sonore de Kosma Joseph et une trame à la Jacques Prévert ; D’après les racontars Marcel à reformé en chambre de tournage cette bouche de métro  presque totalement. Rendus à Montparnasse ; mon « Chauve » de pote est au jus de mon projet fomenté. Lors de la rencontre des fans (d’Ange !) à St-Bresson  les 7 et 8/06/2014, le « Père » nous a conté l’aventure de la pochette du second 33 tours du groupe (conte macabre). Ce conte est évoqué dans le récent ouvrage de Jean-Noël COGHE et Ch.Décamps, un résumé de 50 ans de scène avec anecdotes et aventures en tous genres. Une maquette d’un conglomérat de sépultures, en verre ou en sucre fondu et allongé à volonté (comme les macchabées de la zone), telle est l’espérance du « Père » en 1973 pour le cœur de la double pochette de ce second opus. Éconocroques avant toute chose, c’est donc une photo d’un ange soufflant dans la trompette du jugement de la der de der que l’on peut contempler en ouvrant la pochette en cause. Je me remémore que cet angelot trompétant se trouve, d’après le père Décamps , dans la zone sépulcrale, toute proche de la tour, où Jean-Paul Sartre (entre autres célèbres...) reposent éternellement , à quatre pas de la demeure d’un jeune homme de bonne tenue comme l’a chanté Georges Brassens dans sa « Ballade » sur ce genre de zone macabre. Belle occase pour vous proposer cet ange 2020, souffleur de trompette (et de vers…)  en le retrouvant dans le dédale jonché de tombes et de gamelles à chats. Un doute m’est venu en parcourant l’ouvrange de J.N et Ch et en reluquant l’anecdote relatée par le Père dans laquelle en « dèf » est évoqué l’autre grand monument aux morts (également « Père » et confesseur de sa majesté 14ème) en XXème  séquence de Paname et où reposent tant de personnes connues, notamment le chanteur des « Doors » (pour rester dans la note et le ton du sujet). Dans le doute, nous y allons tout de même bras dessus et panards en dessous. La photo sauvegardée dans mon téléphone (portable) de l’album concerné, grand ouvert, nous conforta  pour un éventuel succès au bout de notre recherche.

Je me rends donc au bureau, un conservateur de sépultures très sympa  se préoccupe de ma quête en s’efforçant de trouver, dans cet enchevêtrement tombal, la demeure éternelle où vole cet « ange trompette ». Sur le plan du funèbre parc à cadavres, le type (toujours sympa) me montre l’emplacement le plus favorable à mes chances d’y trouver notre ange sur un des monuments honorant la camarde et surtout le camarade dedans.  Nous partons, avec mon pote glabre du crâne, donc, vers ce parterre avec une folle espérance d’y trouver le but de notre quête, l’ange à la trompette de la mort. Pour l’ange : chou blanc ! Bolet Satan ! Cependant nous avons repéré des sépultures de gens célèbres (sacrées-pultures). Nombreux sont les gens mémorables en repos éternel aux côtés de la Tour la plus haute en les murs de Paname. Au cas où vous voulez tout leurs patronymes et prénoms, z’avez qu’à appeler Mr.Gougueule.
Je me rappelle de la tombe de la nana à Sartre, de celle de Maryse.B sans son aéroplane, de la gonzesse (revenu de l’enfer des camps SS) ayant offert au genre femelle la préférence de crever ou pas le ballon dans son ventre, en toute douceur, pour élever que l’enfant voulu et accepté, un peu comme le gosse de la chanson de ANGE « et B. creva le ballon… », du Prof.Choron et du créateur d’Arsène « le plus grand des voleurs et pourtant gentleman » d’après Jacques Dutronc. Et justement, nous voyant remarquer la tombe du l’Arsène (pour rester dans l’effet de note), un gars d’un âge avancé, s’est approché de nous et nous a raconté quelques-unes de ses souvenances de cet auteur, ayant connu son proche entourage. Pas d’ange à trompette, cependant, une belle rencontre.
A une autre occase, nous arpenterons les allées funestes, de l’autre grande demeure des morts de Paname, étalée entre la rue des Rondeaux à l’ouest et la rue du Repos à l’ouest et flânerons de nouveau, plus en profondeur, dans celle où est enterré Madame G.Freund – très grande photographe – et Gustave Toulasse  un connu pas célèbre. L’heure est venue de regagner la gare. C’est le bazar dans le secteur de Montparnasse, secteur totalement en travaux, nous louvoyons entre les clôtures, les planches et les tôles. Ce pavé ne m’est pas étranger, mon papa y ayant vécu pas mal d’années.
Et nous…La la la, non pas sur la Grand-Place (Pas de tonnelle de square où dessous l’on joue Mozart, pas de Léon non plus même par hasard.), nous sommes là là là dans le grand-hall de la gare d’où partent les locos , (les tacots…) et leurs wagons vers l’ouest de la France. Paname étant un gros bourg, on retrouve Pascal « l’Anam » -plus en avant sur ce sujet, l’Anam l’atteste- et les « Geffroy du 44 » (Raymond et Adé) .Cette gare est encore truffée de fans d’Ange ! On est partout. Un casse-croûte et en wagon : da guer ! (« At home » en langue de Shakespeare). Nous débarquons à Auray, le temps de charger nos sacs dans mon carrosse, nous prenons la route de Baud. Chez le camarade au crâne nu, un bon goûter nous attend. Je remets le cap plus à l’ouest. 19 h sonnent à notre pendule en ce 01/02/2020 dans notre demeure. Quand j’y pense, la seconde de « 50 Ange » va commencer sur le boulevard, au 80…
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Message  EGNA Mer 3 Juin 2020 - 18:52

Bientôt nos (Mandrin, Zaza et caetera...) images ici et partout wink youpi . Attendons qu'Achille et sa tribu aient reçu leur "Plouc Mag" wink .
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Message  EGNA Jeu 4 Juin 2020 - 11:35

youpi youpi youpi  Enfin les ailes déconfinées razz 

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Message  Toscane Jeu 4 Juin 2020 - 12:10

EGNA a écrit:youpi youpi youpi  Enfin les ailes déconfinées razz 

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Message  vétérange Jeu 4 Juin 2020 - 15:56

Merci ! Gégé  verygood

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Message  clindoeil Ven 5 Juin 2020 - 14:26

EGNA a écrit:youpi youpi youpi  Enfin les ailes déconfinées razz 

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TOUT le 31 ICI à PARIS...



QUE 542 photos razz verygood

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Message  EGNA Ven 5 Juin 2020 - 17:47

wink Content te voir là...

Merci les copains youpi
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Message  EGNA Dim 7 Juin 2020 - 20:52

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Message  Mandrin3 Lun 8 Juin 2020 - 17:48

Allez quelques photos d 'une première partie et quelle première partie ! ! !  razz  wink  verygood

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Les autres : cool   Tristan Decamps - Le Trianon 31/01/2020

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Message  vétérange Lun 8 Juin 2020 - 18:00

Merci ! Christian

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Message  EGNA Lun 8 Juin 2020 - 18:32

youpi youpi youpi  verygood
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Message  Mandrin3 Jeu 11 Juin 2020 - 16:44

Après la première partie voici mes photos de la mémorable  seconde partie du 31/01/2020 au Trianon     cool 

[31-01-2020] PARIS (75) - Trianon - Page 12 49525410

Les autres cool : Ange - Le Trianon - 31/01/2020

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Message  EGNA Jeu 11 Juin 2020 - 17:34

C'est vrai que je les avais déjà lorgnées ces images (j'me marre à relire mes "com" lol1 ); sacré plaisir de les revoir...Merci Mandrin good1
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Message  Mandrin3 Jeu 11 Juin 2020 - 17:40

EGNA a écrit:C'est vrai que je les avais déjà lorgnées ces images (j'me marre à relire mes "com" lol1 ); sacré plaisir de les revoir...Merci Mandrin good1


lol1 lol1 good

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