En pire c'est pas possible...

En PEUR et en REPROCHES
 
En envoyant au front que de bons aryens, il n’est pas étonnant qu’Hitler ait perdu la guerre, quel naze ! Tout comme ce pygmée d’Ajaccio, le seul empereur qui se prenait pour un manchot et dont l’ambition, inversement proportionnelle à sa taille, était ni plus ni moins et je retiens rien, de conquérir le Monde à grand coup d’hécatombes ; que de vies épargnées si ce Tom-pouce s’était contenté de la main mise dans son costume trois pièces et d’une vie tranquille aux côtés d’une bonne corse dans un bon apart’ - salle à manger, cuisine, avec waters à l’eau- sur son île qui n’était pas Sienne, au lieu d’une mainmise sur le Continent pour une vie de château dans une Malmaison pour passer son temps à cocufier la Joséphine avec l’Eléonore tout cela pour, enfin de compte, l’engrosser d’un autre nabot, Léon, autant illustre qu’insignifiant dans l’Histoire de l’Empire est à venir ; quelle Bérézina ! Quant aux Césars du meilleur scénario catastrophe n’en parlons pas, causons-en. C’est tout même l’un d’entre eux qui nous a débarrassé le Panthéon de toute la clique mythologique pour nous placer sous le joug d’un mec qui n’a de cesse de nous demander de tendre l’autre pour en prendre une de plus dans la gueule ; doux jésus ! J’en ai ma claque ! Plus de deux mille ans à boire du judéo-chrétien, tout cela à cause des exactions d’augustes clowns complètement addicts aux jeux vidéos de l’époque et accros plus spécialement à celui qui consistait à livrer quelques crétins à de gros matous, dans une arène réservée à leur gamelles ; barbares ! Il y en a eu des dingues chez les Augustes, ainsi ce CAIUS•JULIUS•CAESAR•AUGUSTUS•GERMANICUS, alias « Caligula » sur fesse-book. Un type complètement entêté, voire obsédé, par l’idée de couper les cous, à tel point qu’il rêvait de décapiter l’ensemble de son peuple, une vraie peste dirait Albert (Camus). Il y a eu aussi le Néron, qui pourtant l’avait normal pour un empereur, c'est-à-dire aquilin -si c’est rond c’est point carré- ; il est pas mal dans l’itou genre dément, il paraît qu’il aurait joué avec des allumettes avec l’idée mais sans intention de la donnée, de faire griller les romains dans la nuit du 18 juillet 64 - après le mec qui nous demande de tendre l’autre joug - en foutant le feu à la ville ; pas la peine qu’une pauvre louve se soit emmerder à allaiter les deux abandonnés du panier, Romulus et Remus ! Le loup est un Homme pour le loup. A sa décharge publique, il est légitime et pas juste de se demander si cet incendie involontairement volontaire, ne constitue pas tout bonnement le premier essai, à 6 jours et 7 nuits - s’il est transformé - de feu d’artifice pour célébrer le 14 avant le 18. Sans cérémonie, passons au César des Césars, pour le rôle de l’éléphant alpiniste dans « mes oies qui capitulent » décerné à Hannibal Barca bien avant sa figuration dans Jules et Jim, ce qui constitue pour la profession un pur Carthage…Carnage, voulais-dire. Le Jules, Caius Iulius Caesar IV à sa naissance, Imperator Iulius Caesar Divus après sa mort, peut-être considéré, ainsi que mes salutations distinguées, comme l’empereur des empereurs. Des conneries -elles sont légion- il en a faites, genre du style d’envoyer ses sbires, légèrement cons, quérir la Gaule pour la ramener à cheval et au galop aux romains ou bien et aussi, d’entreprendre de couvrir de pavés les routes de cette même Gaule afin de se barrer plus rapidement peu de temps après lors de ses déroutes tout en filant l’occasion, quelques 1968 années plus tard et à peu près, à quelques illuminés du Quartier Latin de Lutèce, de les balancer avec l’illusion d’en finir avec un système social entretenu par le Charles De Gaulle également et dont il est qu’il le veuille ou non le Julius,  un peu l’instigateur; vicieux le gars. Il faut dire qu’il n’a pas eu de pot le Julot, tout comme le Marc-Antoine, son chouchou de capo préféré, co-consul et cocu certainement, qui avait l’intention de niquer la Cléo au bas de ses pyramides, alors que c’est elle qui l’a baisé en lui grignotant le terrain conquit, c’est qui le con dans l’Histoire ? Peut-être le contemplateur, ce nabot de napo qui du haut de ces pyramides, 18 siècles plus tard, à louper la scène. Vous parlez d’une mort qu’il a eu l’Imperator Suprême, trépassé troué par 23 coups de couteau –différents- portés par de vieux et adipeux sénateurs dont faisait partie son bâtard de fils ; de vrais Brutus.Tout cela pour finir, comme un néron…Un étron pardon… Coulé et compressé en bronze et offert comme récompense à des guignols de la pellicule qui seraient bien intentionnés en le remettant à Rome, rendons à César ce qui lui appartient.
Allez ! Nous n’allons pas choper leur travers et nous étendre plus longuement sur leurs conquêtes folles à tous ces conquérants de l’histoire de passer le temps, si seulement ces oiseaux de malheur avaient eu la sagesse de l’ Aptenodytes forsteri  -le seul digne du nom d’Empereur-  en restant dignement chez-eux pour s’occuper de leurs petits, peut-être auraient-ils mérités de franchir la marche pour accéder à leur piédestal.

Quelle histoire